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Hitler, la fuite en Argentine selon le FBI

 FBI : Hitler n’est pas mort, il a fui vers l’Argentine.

 

Hitler s’est enfui vers l’Argentine et tous les détails sont disponibles sur le site du FBI. De nouveaux documents déclassifiés du FBI prouvent que le gouvernement savait qu’Hitler était bel et bien vivant dans la Cordillère des Andes bien après la Seconde Guerre Mondiale.

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Personne ne le croyait jusqu’à la publication des documents du FBI. Il semble possible que l’homme le plus détesté de l’histoire moderne ait échappé à la guerre qui déchirait l’Allemagne pour vivre une vie bucolique et paisible dans les magnifiques contreforts de la Cordillère des Andes.

Il s’agit sans doute du cold case (affaire non résolue) le plus célèbre de l’histoire moderne. La disparition du corps du dictateur nazi a contribué à entretenir le mystère autour de sa mort.

Une étude parue le 18 mai 2018 dans l’European Journal of Internal Medicine conclut que des restes humains attribués au Führer et conservés à Moscou sont bien ceux d’Adolf Hitler. Leur état confirme que celui-ci est bien mort en 1945.

 

Je vous passe les détails, parce que sur des dires de docteurs nazis et d’une analyse sur une prothèse et ses trouvailles de reste de végétaux !! Vous allez voir ci-dessous que ce n’est pas aussi simple !

Comment ces éléments osseux sont-ils parvenus en Russie ? « Après l’autopsie des corps le 8 mai 1945 à Berlin par les Soviétiques, les autorités russes ont décidé d’expédier à Moscou les mâchoires d’Hitler afin de précéder à leur identification. Ils réussirent à identifier les dents comme étant celles du Führer grâce à Käthe Heusermann, l’assistante du dentiste d’Hitler et à son technicien dentaire, Fritz Echtmann », peut-on lire dans l’article publié dans l’European Journal of Internal Medicine.

Le 30 mai 1946, une opération secrète est menée à Berlin par les Soviétiques afin de vérifier à nouveau les investigations effectuées un an plus tôt. Nom de code : « Mythe ». Il s’agit alors de confirmer la thèse du suicide au cyanure car on dispose depuis d’un nouvel élément. L’équipe soviétique a en effet découvert, dans le sol à environ 50 à 60 cm de profondeur, un fragment de crâne dans le même petit cratère où les corps avaient été retrouvés un an auparavant.

Hitler se serait suicidé avec du cyanure, pourtant le crâne a un trou de balle, photo ci-dessous, comment passer à coté ?

Des documents du FBI récemment déclassifiés montrent non seulement que le suicide d’Hitler et d’Eva Braun était truqué, mais que le couple tristement célèbre aurait reçu l’aide du Directeur de l’Office des Services Stratégiques (OSS – prédécesseur de la CIA) Allan Dulles lui-même.
Dans un document du FBI de Los Angeles, il est révélé que l’Agence était bien consciente d’un mystérieux sous-marin avait fait route vers la côte argentine pour y déposer des hauts responsables nazis. Ce qui est encore plus étonnant est le fait que le FBI savait qu’Hitler vivait en fait dans les contreforts de la Cordillère des Andes.

Dans une lettre au bureau datée du mois d’aout 1945, un informateur non identifié a accepté d’échanger des informations pour l’asile politique. Ce qu’il a révélé aux agents est édifiant. L’informateur savait non seulement qu’Hitler était en Argentine, mais il était de plus l’un des quatre hommes ayant croisé la route du sous-marin allemand. Apparemment, deux sous-marins avaient débarqué sur la côte argentine ; Hitler et Eva Braun étaient à bord du second. Le gouvernement argentin a non seulement accueilli l’ancien dictateur allemand mais l’a aussi aidé dans sa cache. L’informateur a donné des indications détaillées sur les villages que Hitler et son groupe avaient traversés ainsi que des détails physiques crédibles concernant Hitler. Alors que, pour des raisons évidentes, l’informateur n’a jamais été nommé dans les papiers du FBI, son témoignage a été suffisamment crédible pour être avalisé par certains agents.

En outre des documents du FBI détaillant le récit d’un témoin oculaire des allées et venues en Argentine, de nouvelles preuves sont mises en lumière aidant à prouver que Adolf Hitler et Eva Braun ne sont pas morts dans le bunker. En 1945, l’attaché naval à Buenos Aires a informé Washington qu’il y avait une forte probabilité qu’Hitler et Eva Braun soient parvenus jusqu’à l’Argentine. Cela coincide avec les observations du sous-marin U-530. Des preuves supplémentaires, sous la forme d’un article de journal, détaillent la construction d’un manoir de style bavarois dans les contreforts de la Cordillère des Andes. D’autres preuves, sous la forme du témoignage de l’architecte de la nouvelle maison d’Hitler Alejandro Bustillo, montrent qu’elle a été financée par de riches immigrants allemands.

La preuve la plus confondante qu’Hitler ait survécu la chute de l’Allemagne réside peut-être en Russie. Du fait de l’occupation soviétique de l’Allemagne, les restes supposé d’Hitler furent promptement dissimulés et envoyés en Russie pour ne jamais être revus. Cela jusqu’en 2009 quand un archéologue de l’état du Connecticut, Nicholas Belladone, a été autorisé à pratiquer un test d’ADN sur un des fragments de crâne récupérés.

Ce qu’il a découvert a déclenché une réaction en chaine à travers les communautés du renseignement et des scientifiques. Non seulement l’ADN ne correspondait à aucun des échantillons supposés d’Hitler, ils ne correspondaient pas non plus l’ADN connu d’Eva Braun. Donc la question est : qu’est-ce que les soviétiques ont découvert dans le bunker et où est Hitler ?

Gerrard Williams est un journaliste de renom qui a fait de grandes découvertes sur le temps de dictateur de Hitler.

L’une de ces nouvelles découvertes est la force d’Adolf Hitler qui s’est enfui en Argentine et qui a vécu douze ans de plus après la guerre. Une déclaration qui a même risqué sa vie et celle de son équipe de recevoir des menaces de la part des nazis qui ont encore du pouvoir en Allemagne.

Apparemment, le prétendu suicide était faux et les cendres utilisées n’étaient pas les siennes. Et il a dit: “Quand les Russes arrivent, ils ne trouvent pas de corps. Ils le font un peu plus tard, curieusement, mais ils ne trouvent aucun corps à ce moment-là, et le journaliste de la BBC, Thomas Cadet, dit que les Russes n’ont reçu aucun corps ressemblant à Adolf Hitler, selon eux. “

 

Il soutient que Hitler a mis en place une voie d’évacuation partant du Danemark, avec des liaisons à Barcelone et à Fuerteventura, et à destination finale vers Bariloche; où il a vécu pendant 12 ans de plus avant d’être emporté par une crise cardiaque en 1962.

Des pros enquêtent :

La décou­verte en 2009 d’une preuve scien­ti­fique qui inva­lide la version offi­cielle des événe­ments rela­tée depuis 1946 : le crâne que les Russes disaient appar­te­nir à Hitler est en réalité celui d’une femmeLa déclas­si­fi­ca­tion de plus de 700 docu­ments par le FBI en 2014 faisant état de nombreux témoi­gnages qui attestent de la présence d’Hit­ler d’abord en Espagne, puis en Argen­tine après sa mort présu­mée. Sur la base de ces trou­vailles, History Chan­nel a confié l’enquête à une équipe au CV impres­sion­nant : John Cencich enquê­tait sur les crimes de guerre pour les Nations Unies avant de deve­nir profes­seur de justice pénale à la Cali­for­nia Univer­sity of Penn­syl­va­nia ; Lenny DePaul est inspec­teur en chef et comman­dant des US Marshalls ; Tim Kennedy est sergent première classe au sein de l’US Army et fait partie de l’élite des forces spéciales ; Steven Ramdam, CEO de l’agence d’in­ves­ti­ga­tion privée Pallo­rium, Inc., a aidé à loca­li­ser 170 colla­bo­ra­teurs du régime nazi et d’autres crimi­nels de guerre aux États-Unis, en Europe et en Austra­lie ; Gerrard Williams est jour­na­liste et histo­rien, et il a notam­ment travaillé pour Reuters, la BBC et Sky News. Robert Baer, à la tête de cette équipe, est un vété­ran de la CIA, pour laquelle il a travaillé durant 21 ans, prin­ci­pa­le­ment au Moyen-Orient. Aujourd’­hui consul­tant inter­na­tio­nal et auteur de nombreux livres, il a publié dans les plus grands titres mondiaux, du Guar­dian à Vanity Fair, en passant par le TIME dont il est le spécia­liste du rensei­gne­ment. Ses mémoires, parues en 2003, ont en partie inspiré le film Syriana. Aujourd’­hui, il parti­cipe régu­liè­re­ment à l’émis­sion de CNN Situa­tion Room, pour laquelle il est amené à enquê­ter sur les crashs d’avions irré­so­lus, comme celui d’EgyptAir.

Un dira : ” La mort d’Hit­ler – enfin sa mort présu­mée – ne s’est jamais appuyée sur des docu­ments. Il ne s’agis­sait que d’in­fos de seconde main, il n’y a personne pour en témoi­gner direc­te­ment. Le crâne présenté comme étant celui d’Hit­ler n’était pas le sien et sa mort dans le bunker est une histoire brico­lée à la hâte qui ne nous dit que ce qu’on a envie d’en­tendre. Pendant ce temps-là, le FBI – J. Edgar Hoover en avait fait sa prio­rité – et l’an­cien dépar­te­ment de la Guerre des États-Unis le recher­chaient acti­ve­ment. Staline aussi était convaincu qu’il n’était pas mort, ce qui laisse songeur. Et il y a une raison simple qui explique pourquoi personne n’était au courant de ces recherches jusqu’ici : les docu­ments du FBI étaient confi­den­tiels jusqu’en 2014, tout comme ceux du dépar­te­ment de la Défense.”

La CIA sur les traces d'Hitler :

Selon le Daily Star, David Brixnor, un agent de la CIA à Caracas (Vénézuela), rapportait qu’Adolf Hitler était “toujours en vie en 1955”, soit une décennie après sa mort. L’information n’a jamais pu être confirmée par les autorités américaines.

David Brixnor, qui opérait sous le nom de code “Cimelody-3” en Amérique du Sud, aurait reçu cette information de la part d’un agent nord-coréen. Adolf Hitler aurait été aperçu en Colombie. Le “Führer” aurait changé de nom: Adolf Schrittelmayor. L’agent de la CIA aurait même été directement contacté par un ancien soldat SS. Phillip Citroën serait considéré comme une source fiable et un proche du dictateur nazi.

À l’époque où il travaillait pour une compagnie ferroviaire de Colombie, Phillip Citroën a dit à un ancien membre du bureau avoir rencontré un individu qui ressemblait fortement à Adolf Hitler et prétendait l’être. Citroën a dit l’avoir rencontré à la Residencias Coloniales à Tunja, en Colombie. Selon la source, c’était une ville surpeuplée d’anciens nazis idolâtrant ce soi-disant Adolf Hitler et s’adressant à lui par le Führer, le saluant dans le style nazi”, est-il précisé dans le rapport.

La thèse selon laquelle Adolf Hitler aurait réussi à fuir Berlin et avait vécu plusieurs années en Argentine avait été précédemment avancée par le journaliste argentin Abel Basti dans son livre intitulé “Sur les traces d’Hitler”.

 

TÉMOIN DE L’ÉVASION D’HITLER :

Aubrey Temples, deux fois récipiendaire de l’Étoile de bronze avec bravoure et deux fois récipiendaire de la médaille Purple Heart. En tant que prisonnier de guerre, il s’est retrouvé face à face avec Hitler le 30 avril 1945, le jour où lui et Eva Braun se seraient suicidés dans le bunker de Berlin.

Souvenez-vous du crâne de femme cité plus haut, qui, n’a jamais  fait l’objet d’aucune recherche !

Aubrey M. Temples était un parachutiste de la 82e Parachutiste aéroporté, un prisonnier de guerre en Allemagne et un double récipiendaire de la Purple Heart, qui a vu Adolf Hitler face à face à Nussdorf, en Allemagne, le matin du 30 avril 1945, jour où Hitler était censé s’être suicidé à Berlin. Des temples l’ont regardé monter dans l’avion et s’envoler.

l’americain Aubrey Temples a vu Adolf Hitler s’échapper en avion le 30 Avril 1945 A Nussdorf en Bavière

TEMPLES A AFFIRMÉ QU’IL A IMMÉDIATEMENT ENVOYÉ UNE NOTE À SES SUPÉRIEURS DE CE QU’IL A VU, CETTE LETTRE PROUVE QU’IL L’A FAIT

Aubrey Temples n’avait aucune raison de mentir sur son histoire, il n’en a jamais tiré d’argent. Mais avant d’aller plus loin, prenez un moment pour écouter son récit, enregistré avant sa mort, et décidez par vous-même si vous pensez qu’il dit la vérité. Voici maintenant cette interview :

J’ai envie de dire, quand l’on retrouve un homme aussi important, [ et l’on est pas chez ben Laden où l’on plonge son corps en mer pour pas en faire un martyr hein .. ], à ce temps là, rapporter la tête était un trophée ! Nous montrer une molaire contre un flot de contradictions, croire la thèse officielle est plus insensé que croire à sa fuite .   

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