La loi « Pompidou-Giscard-Rothschild »
Pour commencer, voici les torchons que l’on trouve sur le net, qui, dès que cela ne va pas dans leurs sens, crient aux fake news !! Comme s’ils avaient la vérité absolue et que remettre en question n’était plus légitime.


Écrit par qui ? Un gérant d’actions …. Qui vit justement avec l’argents des autres !
Un autre torchon qui dément, mais copie le premier ! Pour la suite, vous avez compris que la moutonnerie mainstream fait du copier/coller du premier et envahie le net !

Décryptons tout ça :
Je vais démarrer avec un petit préambule, car nos ennuis démarrent bien plus loin avec la révolution française et le Frankisme. Pour rappel :
Des frankistes tinrent un rôle dans la Révolution française, comme Moïse Dobrouchka, qui devint jacobin sous le nom de Junius Frey. Beaucoup de frankistes virent un Messie potentiel en Napoléon Bonaparte.
Les frankistes éparpillés en Pologne et en Bohême ne prouvèrent pas, par la suite, être de véritables catholiques, car les mariages endogames se continuèrent quelque temps, et les rites frankistes furent menés en secret. La version officielle, jusqu’aux travaux d’Abraham G. Duker publiés en 1963, déclara que la secte disparut vers 1850, soit par retour au judaïsme orthodoxe, soit par assimilation à la société chrétienne.
Voici les premières lignes écrites après la révolution et le début des ennuis jusqu’à nos jours :




Les bases étant posées, examinons la suite.
Premier décret sous la marque “liberté, égalité, fraternité” de 1848, gouvernent provisoire. Et qu’est-ce qu’ils s’empressent de faire ! Des crédits…

Puis Pompidou, où, tout va s'accélérer !

À la recherche d’un nouveau challenge, Pompidou entre en 1953 à la banque Rothschild. De nouveau, il se distingue par son aptitude à assimiler de nouvelles compétences. Ayant acquis promptement les connaissances des techniques financières et commerciales, il remet à flot une société spécialisée dans le financement de l’import-export. Au sein de la banque, il s’intéresse davantage au secteur financier qu’au domaine proprement bancaire, séduit par les spéculations intellectuelles qu’exige la finance. Il sait donner à sa société un nouveau capital de confiance, une autre qualité de réflexion, qui ignore le détail, exclue l’accessoire pour se concentrer sur l’essentiel.
Le retour aux affaires de De Gaulle en 1958 lui fait quitter la banque pour six mois. Mais, refusant le portefeuille de ministre des Finances, Pompidou choisit de retrouver la Banque Rothschild. Il y restera jusqu’à sa nomination comme Premier Ministre en 1962. Perçu comme l’homme de la continuité, il est élu président de la République.
Né le 21 mai 1909 à Paris, Guy de Rothschild est l’associé-gérant de Rothschild Frères de 1945 à 1967. À ce titre, il a eu pour collaborateur Georges Pompidou de 1953 à 1961. En 1967, il devient président de la banque Rothschild-Paris et administre de nombreuses sociétés. Lorsque Georges Pompidou accède à la présidence de la République, il continue à entretenir des rapports amicaux avec lui.


Dans cette nouvelle loi, il abroge toutes les règles précédentes !


Mais pas que !




Successeur du Général de Gaulle, il sait toutefois qu’il ne possède pas la carrure de son prédécesseur. Pompidou n’a rien d’un commandeur, plus, d’un pantin mondialiste.
La construction de la puissance industrielle suit alors deux axes. Le gouvernement encourage d’abord les grandes sociétés à acquérir une dimension internationale. Les fusions sont favorisées. De grands groupes émergent dans l’aviation, chimie, électronique et électrique. Les secteurs de pointe (télécommunications, aéronautique…) ne sont pas négligés. Comme dans le nucléaire, le président souhaite que se développe un savoir-faire français, gage de l’indépendance. Si les échecs existent, comme pour le Concorde, force est de reconnaître que les succès sont nombreux. La France entre 1969 et 1972 est le champion de la croissance industrielle ! L’on sait très bien qui en a profité !
Pour Pompidou, la croissance se doit d’être partagée. Sous son mandat est ainsi adoptée la mensualisation des salariés. L’actionnariat salarial est encouragé. En janvier 1970, le SMIG devient le SMIC afin d’associer les employés aux fruits de la croissance. Peu à peu, Pompidou jette les bases d’un autre contrat social au sein des entreprises. Critiquée à gauche et à droite, cette politique, qui rappelle celle de la cogestion allemande ou du modèle scandinave.
Quand des pantins confondent "loi Rothschild" et "banque Rothschild" c'est affligeant ! Quel manque de culture.

De Pompidou à Macron, le système Rothschild tire toujours profit de la dette publique :
La loi de 1973, dite « loi Rothschild », du nom de la banque dont était issu l’ancien président de la République, “Georges Pompidou”.
Depuis 1973, le Trésor public ne peut plus présenter ses propres effets à l’escompte de la Banque de France. En clair, l’État est condamné à se financer par des emprunts, contre intérêts, auprès de banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la Banque de France.


À tous les mous du cerveau, c’est factuel, les faits sont devant les yeux de tous, 1973, “Pompidou”, mort de la France programmée !
Dans les années 80, le taux d’intérêt moyen à 10 ans était de 11,9%, dans les années 90 de 6,3%, dans les années 2000 de 3,9%. En 2011, les taux d’intérêt à dix ans, notamment sur les emprunts d’État de la Grèce, ont atteint des niveaux record, jusqu’à 17,68 % ! La tension sur la Grèce a poussé à la hausse les taux des autres pays fragiles de la zone euro : les rendements à dix ans de l’Irlande ont atteint jusqu’à 11,31 % et ceux du Portugal 10,46 %.
Il est par ailleurs intéressant de constater que le débat se focalise sur cette loi de 1973 et non sur celle du 4 août 1993
En modifiant les conditions d’exercice de la politique monétaire, la loi du 4 août 1993 relative au statut de la Banque de France imposait une refonte des textes réglementaires régissant les interventions de la Banque centrale sur le marché monétaire. Aux termes de cette loi, en effet, le Conseil de la politique monétaire (CPM) s’est vu confier spécialement la mission de définir les opérations auxquelles procède la Banque de France ainsi que les modalités de ses interventions sur le marché monétaire. Il convenait par conséquent qu’il reprenne sous son timbre l’ensemble du dispositif régissant ces opérations, qui s’articulait autour d’un arrêté du Conseil général de la Banque de France de 1973 modifié à plusieurs reprises (en 1985, 1987, 1989, 1992). Le CPM l’a fait par une décision en date du 27 octobre 1995. L’instruction n° 2-95 de la Banque de France signée le 11 décembre 1995 par le gouverneur permettra la mise en application de ce nouveau cadre juridique à compter du 1er janvier 1996.
Finalement, aucune modification n’a été apportée à la convention de trésorerie de septembre 1973 jusqu’au 4 août 1993 et le vote de la loi portant indépendance de la Banque de France, dans le cadre des dispositions prévues par le traité de Maastricht pour la poursuite de l’intégration monétaire européenne.

