Rothschild, Lagardère, Bill Gates dans le “Livre noir” de Jeffrey Epstein :
Le carnet d’adresses du milliardaire américain, accusé de pédophilie, est au coeur de l’enquête en cours aux États-Unis. Un document de 92 pages dans lequel figurent plusieurs noms de personnalités françaises, favorisant l’hypothèse de l’existence d’un réseau criminel en France.
Dans son «Black book», figurent ainsi près d’une quarantaine de noms de citoyens français. Parmi eux, entre autres : Jean-Luc Brunel, un de proches associés de Jeffrey Epstein, lui aussi visé par des plaintes pour viol sur mineures, Jacques de Crussol d’Uzès (héritier du domaine d’Uzès ), Hermine de Clermont-Tonerre (actrice et figure du gotha), Jean-Yves Le Fur (hommes d’affaires), Albert Benamou (gérant d’une galerie d’art parisienne), les princes Louis Albert de Broglie et Pierre d’Arenberg, Azzedine Alaïa (designer de mode), Marie Joseph Experton (avocate), Alberto Pinto (photographe et designer d’intérieur), Betty Lagardère (épouse de l’homme d’affaire Jean-Luc Lagardère), Edouard de Rothschild (homme d’affaires et héritier de la famille Rothschild), Jacques Grange (décorateur et architecte d’intérieur), Philippe Junot (banquier, premier mari de Caroline de Monaco).
Une figure de Wall Street empêtrée dans le scandale Epstein :

Leon Black, l’influent patron de la société d’investissement Apollo Global Management, est empêtré depuis plus d’un an dans l’affaire Epstein, le défunt financier new-yorkais accusé d’avoir entretenu un réseau pédophile, ce qui a poussé son entreprise à ouvrir récemment une enquête indépendante.

La filiale du poids lourd de l’investissement alternatif (414 milliards de dollars sous gestion) est une holding dotée d’un capital permanent de l’ordre de 4 milliards d’euros, chargée d’acquérir des compagnies d’assurance-vie ou des portefeuilles d’actifs cédés par des assureurs, le plus souvent en gestion extinctive. Parmi les investisseurs de sa poche de capital permanent – qu’on peut qualifier de fonds de private equity evergreen – se trouvent des fonds de pension (28%), des fonds souverains (20%), des gérants d’actifs (17%) ainsi que des family offices, banques, etc. Ces 4 milliards ont pour but de lui permettre de consolider le marché européen.
Affaire Epstein : Joi Ito, directeur du MIT Media Lab, a démissionné, après la révélation de son implication :

L’affaire Epstein continue de faire des « victimes ». Aujourd’hui, c’est le tour du directeur du MIT Media Lab, Joi Ito. Ce dernier a présenté sa démission immédiate de l’institution suite aux révélations du New York Times dans un courrier selon lequel il avait fourni de gros efforts pour cacher ses relations avec le milliardaire. Pour rappel, celui-ci est accusé de s’être livré à des viols répétés sur mineurs. Il était, pourtant, l’un des plus fervents donateurs du MIT Media Lab, mais également celui du fonds de capital-risque appartenant à Joi Ito lui-même.
Joi Ito a déjà exprimé des excuses publiques en août pour avoir accepté pendant des années des contributions venant de Jeffrey Epstein, lesquelles représentent près de 800.000 dollars. Cette situation a conduit à la démission de quelques employés du laboratoire, malgré plusieurs démonstrations de soutien. Le New York Times révèle, en outre, qu’Epstein aurait servi d’intermédiaire entre l’institution et des personnalités philanthropes connues. L’une d’elles serait Bill Gates.
Bill Gates sur le vol du lolita express en 2013 :


LEAKS – Epstein : Les 2024 pages déclassifiées :
Le carnet noir non censuré :
Heureusement qu'il a réussi à se faire suicider !!
