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Le vaccin à tout prix, aucune alternative possible !

Pour commencer, je vous laisse regarder ce court extrait de J-M Bigard

Véran entrave la recherche d’un médicament anti-COVID à Lille :

Ce n’est pas la première fois que le ministère de la Santé et sa bureaucratie pléthorique joue contre le camp de la recherche française en multipliant les obstacles réglementaires ou administratifs à des initiatives privées. On l’a vu pour l’hydroxychloroquine, clouée au pilori pendant que le Remdesivir de Gilead, pourtant toxique, était autorisé. On l’a vu pour le vaccin de Valneva, à Nantes, finalement vendu à la Grande-Bretagne faute d’un intérêt quelconque pour ce produit de la part de l’administration française.

Vaccin plus Toxique que le virus :

DECLARATION A FAIRE SIGNER PAR LE MEDECIN QUI PRECONISE L’ADMINISTRATION DU VACCIN:

L'Agence du médicament demande de ralentir la vaccination des soignants à cause des effets secondaires

L’Agence nationale de sécurité du médicament recommande “d’échelonner” la vaccination du personnel des services de soin à cause des effets secondaires des vaccins Pfizer et AstraZeneca contre la Covid-19.

Et si on allait trop vite dans la vaccination du personnel soignant? La question peut sembler étrange alors que la campagne est plutôt pointée pour sa lenteur et que ces personnes sont prioritaires afin de faire face à l’épidémie, mais elle est sous-entendue dans le dernier point de situation de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM)

“Afin de limiter le risque potentiel de perturbations du fonctionnement des services de soin, il est recommandé de vacciner de façon échelonnée le personnel d’un même service”, préconise l’agence. 

a vaccination de masse du personnel soignant ne prend en effet pas en compte les effets secondaires, parfois violents, des différents vaccins, entraînant des arrêts de travail. 

L’ANSM enregistre 2.140 cas d’effets indésirables suite à l’injection du vaccin Pfizer/BioNTech, notamment avec la deuxième dose, dont 73 cas d’hypertension artérielle. “Cela ne remet pas en cause la sécurité du vaccin mais constitue un signal qui doit être surveillé”, ajoute l’agence.

Les effets du vaccin AstraZeneca interviennent dès la première dose. “Nous avons reçu 149 déclarations de pharmacovigilance entre le 6 et le 10 février matin mentionnant des syndromes grippaux souvent de forte intensité (fièvre élevée, courbatures ou céphalées)”, note-t-elle. La moyenne d’âge des professionnels de santé en question est de 34 ans détaille l’ANSM. 

“A ce jour, il n’y a pas de signal de sécurité avec le vaccin Moderna”, complète la note.

Les premiers vaccins sont arrivés à Monaco : explosion de la mortalité !

Pendant toute cette crise, c’est-à-dire du mois de mars 2020 à janvier 2021, juste avant les vaccinations, Monaco comptabilisait 3 décès sur son territoire. À partir du 29 décembre, c’est-à-dire le début de la vaccination, on peut constater une explosion des décès qui ont été multipliés par 7 ! N’importe quel être humain doué de raison doit se poser la question : n’est-ce pas la vaccination qui a causé ces décès ?

Le Professeur Montagnier dénonce le VACCIN, nous sommes en DANGER !!

Brittany Hall Perez, 39 ans, vaccinée le 12 Janvier, décédée le 13 Janvier ! Julie Schalchter, 50 ans, vaccinée le 31 Décembre, décédée le jour même !

“Hold-Up” documentaire qui déchaîne tous les médias. 

Bill Gates admet que 700 000 personnes pourraient être blessées ou tuées par ses vaccins contre le coronavirus :

« Dans son empressement à développer un, deux, voire sept vaccins différents pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19), le magnat milliardaire du logiciel Bill Gates a ouvertement admis que plus de 700 000 personnes pourraient être blessées ou mourir à cause de ces piqûres.

Ces derniers jours, le cofondateur de Microsoft et éminent eugéniste s’est peut-être exprimé plus ouvertement que jamais sur son désir de vacciner le monde entier, en l’occurrence dès que possible, contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19). Et la réalité est que beaucoup plus de personnes mourront à cause du vaccin que du virus lui-même.

S’exprimant lors d’un récent segment sur CNBC, M. Gates a admis que pour que les vaccins « fonctionnent » pour les groupes les plus vulnérables, ils doivent être surchargés, dans un sens. Et cette surcharge signifie que certaines personnes vont être blessées ou tuées à cause de cela.

« Nous avons clairement besoin d’un vaccin qui fonctionne dans la tranche d’âge supérieure, car ce sont eux qui sont les plus exposés à ce risque », a déclaré M. Gates à propos de ses projets de vaccination contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

 

« Et vous faites en sorte de l’amplifier pour qu’il fonctionne chez les personnes âgées et que pourtant vous n’ayez pas d’effets secondaires, si on a un effet secondaire sur 10.000, cela signifie que 700.000 personnes vont en souffrir.

Bill Gates affirme également que les vaccins contre la grippe ne sont pas efficaces pour les personnes âgées

Au cours de cette même interview, M. Gates a admis une chose dont nous avons également fait état : que les vaccins contre la grippe sont pratiquement inutiles chez les personnes âgées.

Bien que les personnes âgées supposées à haut risque soient poussées à se faire vacciner chaque année contre la grippe, M. Gates a avoué que ce rituel annuel ne les protège pas contre la grippe.

« L’efficacité des vaccins chez les personnes âgées est toujours un énorme défi », a déclaré M. Gates. « Il s’avère que le vaccin contre la grippe n’est pas si efficace chez les personnes âgées ».

« Et cette décision réelle de, ok, allons donner ce vaccin au monde entier, les gouvernements devront être impliqués parce qu’il y aura un certain risque et une indemnisation nécessaire ».

Dans sa propre analyse, Martin Armstrong, d’Armstrong Economics, a analysé les données et a constaté que le nombre de décès dans le monde attribués au coronavirus de Wuhan (COVID-19) est faible comparé au nombre de personnes qui seront blessées ou tuées par les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), selon l’aveu même de M. Gates.

Alors que le nombre de décès associés au coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans le monde est actuellement d’environ un quart de million, le pourcentage de personnes qui pourraient potentiellement mourir à cause d’un vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) financé par Gates est environ trois fois plus élevé.

Cela suggère que la société ferait mieux de dire à M. Gates de prendre la route et de laisser le coronavirus de Wuhan (COVID-19) suivre son cours – avec une nutrition adéquate, bien sûr.

Des expériences de vaccination comme celles que M. Gates préconise pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont d’ailleurs déjà été tentées. Dans les années 70, les États-Unis ont mis au point un vaccin contre la « grippe porcine » qui a été administré à quelque 45 millions de personnes en dix semaines.

Cet effort de vaccination a toutefois été interrompu après qu’il a été découvert qu’aucun cas de grippe porcine n’avait été détecté en dehors de la base militaire d’où il était censé provenir. Entre-temps, une personne vaccinée sur 100 000 a fini par souffrir d’effets secondaires, dont le syndrome de Guillain-Barré, et 53 autres sont décédées.

En raison des horreurs causées par cette campagne de vaccination, Guillain-Barré est censé être surveillé à chaque saison de la grippe pour s’assurer que la sécurité des vaccins antigrippaux respecte certains seuils de sécurité.

« L’effet secondaire de la trahison est l’empoisonnement au plomb ou la brûlure de la corde, mais généralement pas les deux », a plaisanté un commentateur de la Big League Politics en référence à Bill Gates.

Eric Coriolan face au Dr A. Talarmin (Institut Pasteur) : en Norvège le vaccin Pfizer a tué plus que le Covid-19

Trafic de virus : l'Institut Pasteur visé par une enquête :

L’organisme de recherche fait l’objet d’une enquête judiciaire sur les conditions dans lesquelles de dangereux virus ont pu arriver en son sein en octobre 2015, de Corée du Sud.

«Manipulation et transport clandestin d’échantillons de virus dangereux, perte de tubes contenant des bactéries potentiellement mortelles, ordinateurs volés pouvant stocker des données confidentielles à risque…», le Parisien liste les chefs d’accusation qui pèsent sur l’Institut Pasteur… L’organisme de recherche fait en effet l’objet d’une enquête judiciaire sur les conditions dans lesquelles de dangereux virus ont pu arriver en son sein en octobre 2015, de Corée du Sud, sans que les autorités sanitaires soient au courant, révèle le quotidien.

«Le 11 octobre 2015, une scientifique de l’Institut Pasteur de Corée a transporté clandestinement, à bord d’un vol Séoul-Paris, trois tubes d’échantillon de Mers Coronavirus, un virus potentiellement mortel, transmissible par le chameau et apparu pour la première fois en 2012 au Moyen-Orient», explique l’enquête. «Le virus, soigneusement rangé dans une petite boîte bleue de produit cosmétique, est resté ensuite sur l’étagère du bureau d’un chercheur de l’Institut sans aucune précaution sanitaire, du 16 au 23 octobre. Tout ceci en dépit des règles nationales strictes du Code de la santé», raconte le Parisien.

L’affaire «n’a été révélée qu’un an plus tard par une fuite opportune dans la presse coréenne». Le 19 décembre le parquet de Paris a alors ouvert une enquête préliminaire.  

Trois échantillons détruits en douce

La direction du centre de recherche dédié à la santé a pris «la décision de détruire en douce les trois échantillons du virus sans en informer au préalable l’autorité sanitaire (l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, ANSM) et sans même déclarer l’incident sous les 48 heures, comme l’impose la loi», poursuit le journal.

«Les échantillons qui sont arrivés avaient subi un traitement d’inactivation et ne présentaient donc pas de risque de contamination. L’erreur est de ne pas avoir effectué de déclaration auprès de l’ANSM avec laquelle nous travaillons ensemble pour améliorer les choses», se justifie Christian Bréchot, le directeur général de l’institut, dont le mandat a été renouvelé en 2016, alors que les statuts de l’institut ne l’autorisent pas. «Une défense qui n’a pas satisfait l’ANSM, à l’origine de l’enquête préliminaire confiée aux policiers de la direction régionale de la police judiciaire», relève le Parisien.

«L’absence de déclaration n’a pas permis la mise en œuvre de mesures de police sanitaires immédiates permettant d’évaluer avec certitude le danger de la situation, ni le déploiement éventuel de mesures de protection des populations» observe en outre l’ANSM dans son rapport d’investigation transmis à la justice.

Comme le rappelle le Parisien, en 2014, déjà, l’Institut Pasteur avait égaré près de 2 500 tubes de SRAS, une maladie infectieuse, et ne s’est pas pressé pour le signaler… deux mois plus tard.

 
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