L'origine non sémite des Ashkénazes :
Si l’on comprend leur histoire de noël heu… « Noé » ! La table des peuples nous raconte qu’il y aurait une liste des descendants du patriarche « Noé ».Apparaissant dans l’Ancien Testament, en « Genèse 10».
Elle donne une liste des peuples du Levant ancien. Selon la Genèse 10, toute la population du monde descendrait des trois fils de Noé :

Noé et ses trois fils
« Japhet, Sem et Cham ».
Notez bien que les sémites descendent du fil Sem. « Bon d’accord, si l’on part du principe que l’humanité prend sa source ici » Donc l’humanité se scinde en trois et peupla le berceau de l‘humanité.
Les "Sem" coté Moyen-Orient, les "Japhet" coté Europe et Asie puis les "cham" coté Afrique.




Japhet, est le père des peuples d’Eurasie Japhétique. Japhet serait le père des Européens, bien que l’adjectif « japhétique » ait parfois été utilisé comme synonyme de « caucasien ». Le même terme a également été utilisé par d’anciens linguistes (notamment Jacob et Wilhelm Grimm, Rasmus Christian Rask et William Jones) pour désigner ce que l’on nomme aujourd’hui les langues indo-européennes.
Cham, serait le père des Hamites et des Cananéens. Ham signifiant « chaud ». Le terme chamitique est utilisé par les linguistes pour désigner la famille de langues à l’ouest de la péninsule arabique.
Sem, serait le père des peuples Sémites. Sem signifiant « nom » ou « renom », « prospérité ».
Maintenant que l’on a un bon petit rappel des croyances et évidement d’une façon de penser des religions qui, intrinsèquement, nous en voyons la projection et la formation du monde d’aujourd’hui. « Un peuple qui revendique une terre par exemple »
Qui sont les ashkénazes ?
Selon Denis de Rougemont, le mythe de Japhet, ancêtre des Européens, prend sa source dans Le livre des questions hébraïques de saint Jérôme, les trois fils de Noé ayant reçu en partage les trois régions du monde, Asie, Afrique et Europe.

Japhet fil de Noé aurait eu un fil Gomére qui lui même aurait eu un fil “Ashkénase”

Les ashkénazes sont de la lignée de Japhet père des européens et non de la lignée des sémites. « Ne leur dites pas, ils nous créeraient un Jérusalem à Bruxelles ! » Il y en a déjà un, mais ceci n’est pas le sujet. Cherchez « parlement juif européen »
Rappel : Japhet et son épouse étaient parmi les huit occupants humains de l’arche de Noé qui survécurent au Déluge et créèrent notre humanité européenne, bien… loin des sémites.
De récente recherche rapporte que les juifs ashkénazes auraient une origine principalement européenne et proviendraient de populations indigènes d’Europe, d’Italie surtout, qui se seraient converties au judaïsme. « Tu m’étonnes »
Certains spécialistes ont même avancé que les juifs ashkénazes proviennent majoritairement de conversions massives qui ont eu lieu dans l’empire des Khazars, un peuple semi-nomade du Nord du Caucase, à la suite de l’adoption de cette religion par sa classe dirigeante, entre le IXe et le Xe siècle de notre ère.
Richards et ses collègues “les spécialistes” ont utilisé un ensemble de données sur l’ADN mitochondrial bien plus nombreuses que dans des travaux précédents d’autres équipes. Ils ont trouvé que plus de 80 pour cent des ADN mitochondriaux modernes des juifs ashkénazes ont une origine européenne et qu’une petite proportion de ces ADN proviennent du Proche-Orient.
Quant à la lignée paternelle, des études précédentes portant sur le chromosome Y avaient montré une origine avec une forte proportion européenne chez les ashkénazes Lévites, pour lesquels une ascendance Khazar serait donc possible.

Extension de l’empire des Khazars de 650 à son apogée en 850.
Au VIIe siècle les Khazars s’établissent en Ciscaucasie aux abords de la mer Caspienne où ils fondent leur Khaganat ; une partie d’entre eux se convertit alors au judaïsme, qu’ils établissent comme religion d’État. À leur apogée, les Khazars, ainsi que leurs vassaux, contrôlent un vaste territoire qui pourrait correspondre à ce que sont aujourd’hui le sud de la Russie,
« Le Kazakhstan ».Et Coïncidence, mais un pentacle y fut retrouvé !


Cet énorme pentacle marqué au sol à côté d’un lac, dans un coin isolé du Kazakhstan, une étoile à cinq branches qui mesure quelques 366 mètres de diamètre, est situé sur la rive sud du réservoir (ou lac) de la haute Tobol dans le nord du pays. “Magie blanche ou noire, l’histoire ne nous le dit pas” !
Certains historiens comme Gérard Nahon voient les Khazars comme un peuple apparenté aux Turcs ayant migré vers l’ouest. Leur nom même signifie « errant » en langue turque.
En 1883, Ernest Renan écrit : les Juifs du bassin du Danube, ou du Sud de la Russie, descendent sans doute des Khazars. Ces régions contiennent de nombreuses populations juives qui probablement n’ont rien à voir du point de vue ethnologique, avec les Juifs d’origine.
En 1940, Marc Bloch, qui se présente comme juif par la naissance et non par religion, dit en introduction de L’Étrange Défaite que « juif » désigne « un groupe de croyants, recrutés, jadis, dans tout le monde méditerranéen, turco-khazar et slave ».
En 1943, l’historien israélien Abraham Polak publie son livre sur l’histoire des khazars et émet deux hypothèses importantes, la première est l’origine non moyen-orientale de la plupart des Juifs d’ Europe orientale, et la seconde, selon laquelle le yiddish serait né en Crimée et non en Allemagne, comme on le croyait précédemment.
Le Yiddish, langue des ashkénazes.
Une nouvelle technologie ADN retrace les origines du yiddish en… « Turquie ». Selon un chercheur israélien, des données génétiques montrent que les locuteurs de la langue juive venaient de l’ancienne route de la soie. Une nouvelle technologie d’analyse de l’ADN montre que le yiddish, la langue historique des juifs ashkénazes, a pu trouver son origine dans le nord-est de la Turquie, selon une étude d’un chercheur né en Israël.
L’étude du Dr Eran Elhaik, de l’université de Sheffield, a été récemment publiée dans le journal scientifique Genome Biology, utilise un outil de structure des populations géographiques (GPS en anglais, pour Geographic Population Structure) pour localiser les origines de l’ADN des locuteurs de yiddish. Les chercheurs ont ensuite utilisé l’algorithme d’un GPS pour analyser l’ADN des participants et prédire leur origine géographique la plus probable.
Les résultats, a déclaré Elhaik, ont montré que beaucoup d’entre eux venaient d’une région formée par quatre anciens villages du nord de la Turquie dont les noms ressemblent à « ashkénazes » : Askenaz, Eskenaz, Ashanaz, et Ashkuz, et qui sont tous situés près de croisements de l’ancienne route commerciale de la soie.
« Le nord-est de la Turquie est non seulement un endroit du monde où ces noms de lieux existent, ce qui implique fortement que le yiddish a été établi autour du premier millénaire à un moment où les marchands qui parcouraient la route de la soie transportaient des biens de l’Asie à l’Europe et voulaient garder leur monopole sur le marché. »
« Ils l’ont fait en inventant le yiddish, une langue secrète que très peu de gens pouvaient parler ou comprendre à part les juifs. Nos découvertes concordent avec une théorie alternative qui suggère que le yiddish a des origines iranienne, turque et slave et explique pourquoi le yiddish compte 251 mots pour les termes ‘achat’ et ‘vente’. C’est ce que l’on peut attendre d’une langue de marchands expérimentés. »
Le yiddish n’est pas une langue sémite, mais une langue brouillonne. Une combinaison de mots allemands familiers et adaptés avec une grammaire slave. Constituée de mots allemands inventés et d’une grammaire non allemande, enrichie d’emprunts à l’hébreu, au polonais et au russe.
L’histoire du Khazar est l’une des pages les plus mystérieuses de l’histoire du monde. La Khazarie était autrefois l’une des puissantes puissances régionales et a eu un impact sur la politique mondiale.
Initialement, au VIe siècle, les Khazars faisaient partie de l’État des Savirs (Savromats-Saveurs). En fait, l’état khazar a été formé sous le règne de «l’empire turc» et a obtenu son indépendance après son effondrement (630 après JC).
Il est intéressant de noter que la Khazarie de la mer Noire, du Caucase et de la Caspienne au sud jusqu’au Dniepr à l’ouest, la Moyenne Volga au nord et l’Oural à l’est coïncide complètement avec l’ancienne Sarmatie, connue de sources historiques. En fait, Khazarie était l’héritière de Sarmatia, seule son élite était d’origine turque, et a même adopté le judaïsme.
Dès le Xe siècle, des Juifs, peu nombreux, étaient venus du royaume khazar, dont le souverain et l’aristocratie se seraient convertis au judaïsme au VIIIe siècle. Kiev, sur la principale route commerciale d’Europe du nord vers le sud, accueillait aussi des Juifs. A partir de 1150 environ, des Juifs venus des terres des Ashkénazes (la Germanie) s’établirent dans le royaume de Pologne, puis se donnèrent dans le siècle suivant une structure communautaire propre, gardant des liens avec les Juifs piétistes allemands adeptes d’un judaïsme austère. Se forma ainsi une communauté dont la langue de tous les jours était le judéo-allemand médiéval, précurseur du yiddish. L’émigration vers la Pologne continua à mesure que la situation des Juifs dans le Saint Empire, en Bohême et en Hongrie se détériorait. A la fin du XVe siècle, il devait y avoir 18 000 Juifs dans le royaume de Pologne, organisés en 58 communautés dont les plus importantes étaient Cracovie, Lviv et Poznan, et 6 000 Juifs en Lituanie.
Entre 1200 et 1550, l’expulsion ou la conversion forcée des Juifs d’Europe occidentale fit de la communauté juive de Pologne-Lituanie (« Polin ») la plus importante au monde. Vers 1760, les terres polonaises accueillaient la moitié de la population juive mondiale.
A partir du XIIIe siècle, à mesure que la situation des Juifs en Europe occidentale se détériorait, de plus en plus émigrèrent vers la Pologne, si bien qu’au XVIIIe siècle le pays accueillait la moitié des Juifs du monde. Protégés par les rois et les nobles, les Juifs bénéficiaient d’un statut d’autonomie qui leur permit de mener, pendant plusieurs siècles, une vie économique et culturelle florissante. L’Église catholique en Pologne semble avoir échoué à faire appliquer ces règles. Les Juifs jouissaient de la protection de la noblesse et de certains ordres monastiques, qui avaient de forts liens économiques avec eux. Les communautés et conseils juifs devaient des millions de zlotys aux institutions ecclésiales, élément décisif qui modérait la politique antisémite des évêques.
Les Juifs occupaient une « niche » bien définie dans la société polonaise. Ils avaient été invités en Pologne par les rois, à commencer par le duc Boleslas le Pieux à Kalisz en 1264. C’est lui qui édicta une charte générale, sur le modèle de la charte autrichienne de 1240, qui fut à la source de nombre de listes de droits accordés aux Juifs par la suite. Elle fut confirmée par Casimir le Grand (1333-1370) et étendue à l’ensemble de la Pologne, puis renouvelée par les souverains du royaume et les ducs de Lituanie jusqu’au XVIIIe siècle.
Plus éminente encore que la protection des rois était celle offerte par la noblesse, qui possédait un écrasant pouvoir politique et économique. En 1539, la Diète vota une législation qui donnait aux propriétaires des « villes privées » (vers 1500, 56 % des villes polonaises avaient été rachetées à leurs anciens propriétaires par les habitants) une juridiction exclusive sur les communautés juives, droit confirmé par le roi Sigismond II Auguste en 1549. Ce fut l’origine d’un mariage de raison entre les Juifs et la noblesse. Ceux-ci géraient fréquemment les domaines des nobles qu’ils louaient. Ils acquirent également des baux sur les moulins, les péages, et touchèrent des taxes sur les droits de brasser la bière et de distiller. Ils jouèrent un rôle important dans le commerce vital des céréales qui descendaient les rivières polonaises jusqu’à la Baltique. De plus, ils étaient des artisans indispensables à l’économie des petits bourgs et des villages : charpentiers, chaudronniers, tailleurs, fabricants de goudron, etc., ce qui explique les tensions économiques qui marquent leurs relations avec les chrétiens.
Cette alliance entre la noblesse et les Juifs n’impliquait pas un grand respect mutuel. Les nobles méprisaient les Juifs, estimant que « seule l’agriculture mériterait d’être qualifiée de travail » et que c’était « un péché et une honte de faire du commerce ». Ils considéraient les marchands (juifs, mais aussi italiens ou allemands) comme des escrocs, des faibles, nuisibles et parasites. Pour leur part, les Juifs tenaient leurs patrons pour dépensiers et immoraux.
"hérésie des Judaïsants" :
Les premiers documents attestant de la présence des Juifs dans la Russie moscovite remontent à 1471. Le grand-duc de Moscou, Ivan III, tente d’établir un gouvernement centralisé et fait du christianisme orthodoxe la seule religion de son État. La principauté de Novgorod, fréquemment visitée par des marchands venus d’Occident se montre réfractaire à ces réformes politiques et religieuses. Elle fait appel en 1470 au prince Mikhailo Olelkovich, frère du vice-roi de Kiev, qui amène avec lui un juif Skhariya , qui convertit le prêtre Dionis au judaïsme. Le nouveau converti lui présente son assistant Alekseï qui propage ce que le pouvoir appelle “hérésie des Judaïsants”.
La plus ancienne de ces hérésies, la secte des « Judaïsants », a été prêchée par Skhariya le Juif dans la seconde moitié du quinzième siècle ; elle a rencontré un grand succès dans les régions de Moscou et Novgorod. Un de ses fidèles, l’archiprêtre Aleksei, a converti l’entourage du grand-duc de Moscou Ivan III, notamment la femme de l’héritier du trône Ivan le jeune.
La secte est ensuite réprimée (Skhariya le Juif est exécuté en 1491 sur l’ordre d’Ivan III) et semble disparaître au début du XVIe siècle.
De nombreuses traductions à partir de l’hébreu furent réalisées (Bible, ouvrages d’astrologie, traductions de Maïmonide et d’Al-Ghazali pour l’usage des synagogues dans une langue russe.
Cette hérésie s’est probablement perpétuée dans le peuple et a peut-être contribué à l’émergence à la fin du XVIe siècle d’une nouvelle secte, les Molokans.
Les Subbotniks sont apparus sous le règne d’Alexandre Ier dans la région de Voronej. Comme aucune communauté juive n’existait dans cet oblast, une filiation directe avec le judaïsme semble peu probable, mais une origine molokane est vraisemblable, même si elle est discutée. Selon des rapports administratifs de 1810, les Subbotniks pratiquaient la circoncision, et suivaient les règles juives pour les mariages et les divorces, l’enterrement des morts et les réunions de prière. Ils observaient également le Shabbat. Ce rite est l’origine de leur nom : Subbotniks signifie, en russe, sabbatariens ceux qui pratiquent le shabbat. À l’origine, les Subbotniks avaient un culte ressemblant à celui des juifs sans avoir intégré le judaïsme, mais les différences se sont estompées avec le temps.
Israël reconnaît l’origine Khazar des juifs ashkénazes :

Le projet secret d’un « deuxième Israël » en Ukraine
Le rôle joué par les personnalités juives et l’État d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au dixième siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël.
Le Times of Israel, journal israélien indépendant dont le comité de rédaction compte des anciens journalistes du quotidien Ha’aretz, a publié un papier passionnant qui n’a pourtant pas fait grand bruit. L’article en provenance de Jerusalem et Zhitomir, daté du 16 mars 2014 et écris par Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass, correspondants russes et ukrainiens du journal, fait mention d’un rapport confidentiel remis au gouvernement israélien [1]. Ce rapport, établi par un comité d’experts en histoire juive et reposant sur des sources universitaires, parvient à la conclusion que les juifs européens descendent en réalité des Khazars, peuple guerrier d’origine mongole et tatare ayant dominé l’Ukraine et la Russie méridionale et s’étant converti en masse au judaïsme au VIIIè siècle.
Les sionistes prétendent depuis longtemps que la terre revendiquée d’Israël revient de droit au peuple juif, que les conquêtes successives de différents empires ont évincé et dispersé, ce que l’on a appelé la diaspora. Apporter la preuve que les ashkénazes, qui forment l’essentiel de la population israélienne, ne sont pas historiquement liés à la Palestine remettrait en question le principe même d’Israël comme étant la patrie millénaire du peuple juif.
Les journalistes israéliens ont souligné que toute discussion entre Khazars et l’État d’Israël avait toujours été méprisée par les responsables israéliens. Ils citent ainsi le Premier ministre Golda Meir, qui aurait déclaré : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-les moi, ces Khazars dont vous parlez. » Les preuves génétiques d’une population khazare migrante venue d’Europe et qui revendique aujourd’hui des origines ancestrales en Palestine disqualifient sérieusement les prétentions sionistes sur cette terre.
L’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe de l’est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et ailleurs. La Knesset se prépare à voter une loi présentée par le gouvernement faisant d’Israël une « nation » juive. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, après avoir lu le rapport confidentiel au sujet des Khazars, a déclaré qu’Israël était « l’État nation du peuple juif. » Les prétentions ashkénazes en Israël étant diminuées, pour ne pas dire plus, Netanyahou, ses amis du Likoud, ses alliés du parti orthodoxe juif comme les colons de Cisjordanie n’ont pas d’autre choix que de jouer la carte de la revendication nationaliste, non seulement pour Israël, mais aussi pour la Cisjordanie (ou « Judée-Samarie », comme l’appelle les nationalistes juifs).
Toutefois, certains juifs, en Israël comme ailleurs, ne souhaitent pas prendre de risques. Une des raisons principales pour qu’Ihor Kolomoïsky —le richissime magnat juif ukrainien et gouverneur de la province de Dnipropetrovsk, qui est aussi citoyen israélien et chypriote— dépense des dizaines de millions de dollars pour recruter des nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en Ukraine orientale, c’est la peur de voir capoter le projet de transformation de l’Ukraine en « Israël-bis ». Les mesures de protection prises par la Russie vis-à-vis de la région du Donbass, tout comme son intégration à la Crimée par voie référendaire (cette région étant convoitée par les nationalistes khazars juifs renaissants) menacent la transformation de l’Ukraine en deuxième patrie pour les juifs ashkénazes qui, déjà, s’inquiètent au sujet de leur emprise sur la terre d’Israël.
Le papier retentissant du Times of Israel à propos des origines khazares des juifs ashkénazes a aussi mis en lumière qu’Israël, ayant conscience qu’un État palestinien est inévitable compte tenu des pressions européennes en ce sens, se prépare à déplacer ses colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. La recherche de pointe dans le domaine de la génétique en Israël a permis d’établir un lien direct entre les ashkénazes d’Israël et les Khazars qui se sont jadis dispersés en Europe de l’est et en Europe centrale après la conquête de l’empire khazar par la Russie au XIè siècle.
Les Israéliens et leurs alliés sionistes du monde entier ont toujours accusés les tenants du lien génétique entre ashkénazes et Khazars d’antisémitisme primaire. Cependant, les éléments de recherche génétique contenus dans le rapport confidentiel israélien ne font que confirmer ce qu’avait révélé l’historien juif Shlomo Sand dans son livre Comment le peuple juif fut inventé. Le concept de descendance khazare, lui, avait été pour la première fois évoquée en 1976 par l’historien hongrois Arthur Koestler dans son livre La Treizième tribu.


Les journalistes du Times of Israel relayent les révélations d’un assistant anonyme de Netanyahou au sujet des projets d’émigration israélienne vers l’Ukraine. « Nous avons d’abord pensé que reconnaître être des Khazars serait une façon pour nous de contrer l’inflexibilité d’Abbas (le président de l’autorité palestinienne) sur l’impossibilité d’une présence juive dans un État palestinien. Nous tentions sans doute ce faisant de nous raccrocher à ce que nous pouvions. Mais son incapacité à accepter la chose nous a poussés à chercher des solutions plus ingénieuses. L’invitation au retour des juifs en Ukraine fut une véritable aubaine. Mais le déplacement rapide de tous les colons d’Israël n’irait pas sans poser problème au niveau logistique et économique, et Il va de soi que nous ne souhaitons pas revivre une expulsions des colons semblable au plan de désengagement de Gaza. »
Ostropoler et Grosser-Spass rapportent aussi les propos d’une source israélienne anonyme selon laquelle « Il ne s’agit pas de renvoyer tous les ashkénazes en Ukraine. Cela n’est, de toute évidence, pas faisable. Comme souvent, les médias exagèrent et font dans le sensationnel… C’est bien pourquoi il faudrait une censure militaire. »
Le Projet conjoint d’Israël et de l’Ukraine consiste à déplacer les colons de Cisjordanie en République Autonome de Crimée (Russe), et ce après une éventuelle rétrocession de la péninsule à l’Ukraine, comme ils l’espèrent. Pour les sionistes ukrainiens comme Kolomoïsky, ou leurs alliés états-uniens tels que Victoria Nuland (secrétaire d’État adjointe, déléguée aux Affaires européennes et eurasiennes) et Geoffrey Pyatt (ambassadeur US en Ukraine), l’objectif ultime consiste à établir une région juive autonome en Crimée et à redonner à la péninsule son nom khazar d’origine, Chazerai. Comme les Tatars qui vivent aujourd’hui en Crimée, et ailleurs, sont en majorité musulmans, le projet de création d’une nation khazare en Ukraine reposerait aussi probablement sur un fort prosélytisme de la part des Israéliens et des Ukrainiens déterminés à réinstaurer la Khazarie comme alternative à l’État d’Israël. Le prosélytisme juif (qui se concentre actuellement sur les « crypto-juifs » métis catholiques au Mexique, les chrétiens, hindous et bouddhistes en Inde, les orthodoxes russes et les bouddhistes de Birobidjan en Sibérie, les musulmans du Pakistan et d’Afghanistan, les chrétiens, musulmans et animistes d’Ouganda, du Ghana, du Mali du Nigeria du Zimbabwe, du Mozambique et du Malawi et sur quelque groupes de descendants juifs supposés en Chine, à Sao Tomé-et-Principe, à Tahiti, au Suriname, au Vietnam, au Brésil et au Pérou) traduisent la volonté d’Israël de renforcer la présence juive dans un but de colonisation en dehors des territoires illégalement occupés que sont le Cisjordanie et le plateau du Golan. Outre l’Ukraine, le nord de l’Irak, l’est de la Libye, la ville d’Alexandrie en Égypte, certaines parties de la Turquie, la Patagonie en Argentine ainsi que l’Ouganda sont tous des territoires qui ont été envisagés comme colonies juives en remplacement ou en complément de la Cisjordanie. Les Bnei Menashe des États de Manipour et de Mizoram au nord-est de l’Inde, ces soi-disant « tribus perdues d’Israël », sont considérées par la majorité des Indiens, non comme des juifs, mais comme des migrants économiques à la recherche d’une vie meilleure en Israël. Les expansionnistes israéliens veulent tellement gonfler leurs rangs et développer leurs prétentions territoriales qu’ils ont fait réaliser des études génétiques douteuses en vue de classer comme « tribus perdue » d’Israël les Sorbes d’Allemagne de l’est, l’ethnie Bantou Lemba (au Zimbabwe, Malawi et Mozambique) et aussi certains Italiens du sud, certains Arméniens, et certains Grecs.

- Carte de l’empire khazar au Xè siècle tirée du livre de Koestler.
En Ukraine, ce prétendu « deuxième Israël », Kolomoïsky et le pouvoir de Kiev ont enrôlé des ex-membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, notamment le bataillon Azov. Une des unités israéliennes, commandée par un certain « Delta » est connue sous le nom des « Casques bleus de Maidan » [2]. Si Israël n’avait pas un intérêt direct à développer son influence en Ukraine, le pays pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre sur place.
On trouve aussi en Cisjordanie des colons juifs sépharades qui sont les descendants des juifs Marranos d’Espagne sous domination musulmane, qui furent chassés de la péninsule ibérique au cours de l’inquisition espagnole et portugaise du XVè siècle et qui n’ont aucun lien avec les ashkénazes ou les khazars. Récemment, dans une démarche similaire à l’invitation des ashkénazes de Cisjordanie à venir s’installer en Ukraine, l’Espagne et le Portugal ont promulgué des lois permettant aux juifs sépharades du monde entier en mesure d’attester de leurs origines Marranos d’acquérir la nationalité dans les deux pays.
Certains russophones du Donbass en ont assez des intentions des pro-Israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoïsky a fait appel à un certain nombre de néo-nazis d’Ukraine occidentale et d’Europe pour rejoindre les rangs de ses bataillons et il faut savoir que les organisations droitistes auxquelles ils appartiennent ont toujours défendu l’idée d’une « mêlée générale » opposant la Russie aux descendants des Khazars d’Israël, d’Ukraine, de Pologne et de Géorgie pour venger la victoire de l’Empire Russe sur l’empire khazar au XIè siècle.
Israël a mis à disposition du gouvernement géorgien de Mikheil Saakachvili (dont un certain nombre de représentants ont la double nationalité israélo-géorgienne et sont d’origine khazare) une aide au niveau militaire comme au niveau du renseignement dans la guerre de 2008 contre l’Ossétie du sud et L’Abkhazie. Les Israéliens ont également tissé des liens étroits avec l’Azerbaïdjan, pays qui, à l’instar de la Géorgie et de l’Ukraine, est historiquement lié à la Khazarie par le biais des Subbotniks, un groupe indigène de juifs azéris.
Les journalistes du Times of Israel racontent aussi pourquoi, selon l’assistant anonyme de Netanyahou, le gouvernement israélien s’efforce de mettre en place une implantation israélienne massive en Ukraine : « Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne saurait dire aux juifs où ils doivent vivre en tant que peuple souverain. Il est prêt à faire d’importants sacrifices au nom de la paix, même si cela implique de renoncer à notre terre biblique de Judée-Samarie. Par contre, il faut s’attendre à ce que nous fassions valoir nos droits historiques ailleurs. Nous avons décidé que cela se ferait sur les rives de la mer Noire, là où nous fûmes un peuple autochtone pendant plus de 2 000 ans. L’historien non-sioniste Simon Dubnow lui-même a déclaré que nous étions en droit de coloniser la Crimée. Tous les livres d’histoire en parlent. Vous pouvez vérifier par vous-même. »
Cet anonyme a aussi révélé aux deux journalistes que Netanyahou avait beaucoup d’estime pour la vigueur des anciens Khazars et rapporte ces propos, qu’il aurait tenu : « Nous sommes un peuple ancien et fier dont l’histoire remonte à 4 000 ans. » Mais l’assistant ajoute : « On peut dire la même chose des Khazars… en Europe, mais pas sur une période aussi étendue. Mais jetez un œil à la carte : les Khazars n’ont pas eu à vivre dans les « frontières d’Auschwitz »….
Pour les personnes mal renseignées, dont font apparemment partie le président Barack Obama et son secrétaire d’État John Kerry, l’actuelle volonté de créer une nouvelle identité nationale israélienne est directement liée aux activités des dirigeants ukrainiens (Petro Porochenko, Arseni Iatseniouk, Ihor Kolomoïsky) et à celles de leurs soutiens états-uniens (Victoria Nuland et Geoffrey Pyatt), occupés à préparer une terre d’accueil, temporaire ou pas, pour les ashkénazes de Cisjordanie. Grâce aux révélations du Times of Israel au sujet du rapport confidentiel sur les Khazars et l’Israël contemporain, les manœuvres des États-uniens et de l’Union Européenne visant à déstabiliser l’Ukraine sont à présent on ne peut plus évidentes.
[1] “Leaked report : Israel acknowledges Jews in fact Khazars ; Secret plan for reverse migration to Ukraine”, Jim Wald, The Times of Israel, March 16, 2014.
[2] « Des soldats israéliens étaient camouflés place Maidan », Réseau Voltaire, 3 mars 2014. Et « Le nouveau Gladio en Ukraine », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 18 mars 2014.
La conversion du royaume Khazar au judaïsme :
Avec l’évidence écrasante que la population juive ashkénaze moderne est d’origine Khazar, cela indique clairement que ” leurs ancêtres ne sont pas venus du Jourdain, mais de la Volga, non pas de Canaan, mais du Caucase, autrefois considéré comme le berceau de de la race Aryenne, et que génétiquement ils sont plus étroitement liés aux tribus Hun, Uigur et Magyar plus tôt que de la semence d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Cette conclusion rendrait alors logiquement l’épithète “antisémitisme” vide de tout sens!
Par HOIM Staff
Selon Benjamin Freedman, la conversion des Khazars au judaïsme a d’abord été suscitée par l’aversion de leur monarque envers le climat moral dans lequel a été précipité son royaume . Freedman a prétendu – et d’autres historiens l’ont confirmé – que les Khazars “primitifs” ont engagé des formes extrêmement immorales de pratiques religieuses, parmi lesquelles le culte phallique. Les sacrifices d’animaux ont également été inclus dans leurs rites.

La structure religieuse Khazare était centrée autour d’un chamanisme connu sous le nom de Tengri, qui incorporait le culte des esprits et du ciel ainsi que la zoolatrie, le culte des animaux. Tengri était aussi le nom de leur “dieu immortel qui aurait créé le monde” , et les principaux sacrifices d’animaux faits à cette divinité étaient des chevaux. [1]
La véritable mécanique du royaume khazarien converti au judaïsme était, selon la plupart des historiens, plutôt bien pensée – du moins d’un point de vue humaniste – plutôt qu’aléatoire et capricieuse comme certains l’ont cru.
Selon George Vernadski, dans son ouvrage Histoire de la Russie, en 860, une délégation de Khazars fut envoyée à Constantinople (aujourd’hui Istanbul), qui était alors ce qui restait de l’ancienne capitale de l’ancien Empire romain devenu chrétien sous l’empereur Constantin . Leur message était:
«Nous connaissons Dieu le Seigneur de tout ce qui se rapporte à Tengri depuis des temps immémoriaux … et maintenant les Juifs nous exhortent à accepter leur religion et leurs coutumes, et les Arabes, de leur côté, nous attirent vers leur foi, en nous promettant la paix et de nombreux dons. ” [2]
Cet appel, dans toutes ses implications, visait évidemment à attirer l’Empire romain chrétien dans le débat, avec l’idée peut-être d’un argument équilibré parmi les principales religions monothéistes.
Brook fait l’observation que “cette déclaration révèle que les Juifs cherchaient activement à convertir la Khazarie en 860.” Il ajoute également qu’ “en l’an 860,[les chrétiens] , les saints Cyril et Méthodius, furent envoyés comme missionnaires aux Khazars par l’empereur byzantin Michel III …. puisque les khazars avaient demandé qu’un érudit chrétien vienne en Khazarie pour discuter avec les juifs et et les musulmans. ” [3]
Dans la mesure où le monde a rarement (ou peut-être jamais) vu dans une quelconque culture, des personnes plus aptes à l’art du débat religieux que les juifs rabbiniques, la conversion des Khazares au judaïsme talmudique n’est pas un résultat surprenant, étant donné que ce forum a été un facteur determinant dans leur choix, plutôt que des perceptions purement spirituelles. Le résultat a été encore plus assuré par le fait que les représentants chrétiens dans le débat sont venus d’une église dans les dernières années de formation du Saint Empire romain germanique dans lequel, à ce moment, la sensibilité spirituelle était devenue quelque peu rare à presque éteinte.
C’est à cette époque (environ 740 ap. J.-C.) que le roi Bulan de Khazarie était censé se convertir au judaïsme. Dans le débat entre le mollah islamique, le prêtre chrétien et le rabbin juif, chacun a présenté au roi les avantages et les vérités de ses propres préceptes de foi. Ce roi, cependant, selon certains récits de l’histoire, avait sa propre logique pour déterminer ce qu’il devrait embrasser. Il interrogea successivement chaque représentant, lequel des deux autres croyances il considérait comme supérieure à l’autre. Le résultat a été que le musulman a indiqué que le judaïsme était superieur au christianisme, et le prêtre chrétien a choisi l’islam. Le roi conclut alors que le judaïsme, en tant que fondement sur lequel les deux autres religions monothéistes ont été construites, serait celui que lui et ses sujets devraient embrasser. Les Khazares, eux-mêmes monothéistes, avaient apparemment exprimé des réserves sur la nature polythéiste païenne de la doctrine trinitaire des chrétiens. [4]
Afin de ne pas exclure le récit islamique de ces événements, ce qui suit est pris par D. M. Dunlop de l’ouvrage d’al-Bakri du XI ème siècle, le Livre des Royaumes et des Voies:
“La raison de la conversion au judaïsme du roi des Khazars, qui avait été païen , était la suivante: il avait adopté le christianisme, puis il a reconnu l’erreur de sa croyance et a commencé à parler avec un de ses gouverneurs au sujet du L’autre lui dit: “Ô roi, le peuple du Livre forme trois classes.” Invitez-les et demandez-leur, puis suivez celui qui est en possession de la vérité. Il y avait avec le roi et l’évêque, un juif habile dans le débat, qui se disputa avec l’évêque, lui demandant: Que dites-vous de Moïse, fils d’Amrane, et de la Torah qui lui a été révélée? L’évêque lui répondit que Moïse était un prophète et que la Torah est vraie.
Et le roi lui demanda et il lui répondit: Je dis que le Messie, Jésus, le fils de Marie, est la Parole, et qu’il a fait connaître les mystères au nom de Dieu
“Le juif dit alors au roi :Il a admis la vérité de ma foi. Il confesse une doctrine que je ne connais pas, alors qu’il a admis la véracité ce que j’ai exposé.
Mais l’évêque n’était pas fort pour apporter des preuves. Il a donc invité les musulmans, et ils lui ont envoyé un homme savant et intelligent qui comprenait la contestation. Mais le Juif a engagé quelqu’un pour empoisonner le savant musulman,alors qu’il était sur le chemin, afin qu’il meure. Et le Juif a pu ainsi recruter le roi dans sa religion. “[5]
Koestler présente une alternative intéressante face ces points de vue . Sa position était que la conversion du roi était essentiellement une décision politique. ” Au début du huitième siècle, écrit-il, le monde était polarisé par les deux superpuissances représentant le Christianisme et l’Islam: leurs doctrines idéologiques étaient soudées à la politique / Pouvoir et poursuivies par des méthodes classiques de propagande, de subversion et de conquête militaire . “
On peut observer ici qu’il est évident que le christianisme moderne a bien appris cette même forme de gouvernance ( propagande, subversion et conquête militaire), dans la mesure où ils ont carrément occulté une page de l’histoire du premier millénaire de l’Église.
Bien que les khazares n’aient pas subi de pressions de la part de l’Islam ou du Christianisme pour les convertir à leurs religions respectives, les khazares ne se seraient pas non plus contentés d’un échange de politesses politiques et dynastiques (c’est-à-dire de mariages et d’alliances militaires changeantes). Il était clair que les Khazares étaient déterminés à préserver leur suprématie en tant que “troisième force” dans le monde, et leader incontesté des pays et des nations tribales de la Transcaucasie. Ils voyaient que l’adoption de l’une des grandes religions monothéistes conférerait à leur monarque le bénéfice de l’autorité tant prélatiste que judiciaire que leur système de chamanisme ne pouvait pas et que les dirigeants des deux autres puissances en jouissaient clairement. [7]
Selon JB Bury :” Il est indéniable, dit-il, que le dirigeant a été animé par des motifs politiques dans l’adoption du judaïsme. Embrasser le Mohamedisme aurait entrainé pour lui, la dépendance spirituelle des califes qui ont tenté d’appuyer leur foi en Khazarie, et dans le Christianisme, il y a le danger de devenir un vassal ecclésiastique de l’Empire romain. Le Judaïsme était une religion réputée , avec des livres sacrés qui respectaient Chrétiens et Musulmans, il l’a élevé au-dessus des barbares païens et l’a garanti contre l’interférence du calife ou de l’empereur. [8]
Il serait illogique, cependant, de penser que les dirigeants khazars avaient embrassé le Judaïsme aveuglément, sans connaissance intime de ce qu’ils acceptaient. Ils avaient rencontré la foi à plusieurs reprises au cours du siècle précédent auprès de commerçants et de réfugiés fuyant la persécution des Romains et, dans une moindre mesure, de la fuite des juifs, des conquêtes arabes vers l’Asie Mineure.
Benjamin Freedman exprime différemment les motivations du processus de choix d’une religion Khazare nationale. Il prétend qu’ils étaient beaucoup plus informels et aléatoires, et pas aussi intellectuels dans leur approche.
Peu importe le mécanisme de conversion du royaume Khazar au judaïsme. Ce qui, seulement importe est que cela est arrivé, et que cela s’est produit avec un anneau historique qui retentit jusqu’à nos jours !
“La religion des Hébreux, écrit John Bury, avait exercé une profonde influence avait été une base pour le christianisme: elle avait gagné des prosélytes épars, mais la conversion des Khazares à la religion inchangée de Jéhovah est unique dans l’histoire. ” [9]
C’est en effet un événement historique unique, comme le prétend Bury; Mais il est également intéressant qu’il se réfère à leur conversion au judaïsme talmudique comme “à la religion inchangée de Jéhovah”. Il est évident que les Juifs éthiopiens actuels seraient en désaccord avec M. Bury à ce sujet puisqu’ils n’adhèrent pas aux préceptes du Talmud, de la Mishnah, du Midrash ou d’aucun des écrits extrabibliques qui sont apparus depuis la clôture des lois de l’Ancien Testament. Les Juifs d’Afrique du Nord revendiquent seulement la Torah comme leur autorité scripturaire. Et, à la différence de leurs “frères” lointains du Talmud, ils pratiquent leur religion tranquillement et sans aucune implication dans la politique laïque.
Selon un document ancien intitulé “Réponse du roi Joseph à Hasdai ibn Shaprut”, Joseph (un ancien roi khazar) a déclaré: “Depuis lors, le Dieu tout-puissant l’a aidé [le roi Bulan] et l’a renforcé. Bulan a fait amener des sages d’Israël afin qu’ils interprétaient et adaptent pour lui la Torah . [10]
Il semble y avoir autant de récits historiques sur la manière dont le roi Bulan a été converti au judaïsme tout autant qu’ il ya d’historiens et de mystiques pour les présenter.
Beaucoup d’entre eux impliquent des visions d’anges, comme le récit d’un philosophe juif sépharade détaillant un rêve dans lequel un ange a dit au roi que ses ” objectifs seraient agrées par le Créateur “, mais l’observance continue du chamanisme ne l’était pas. [11] Dans le document susmentionné, la réponse du roi Joseph, son auteur affirme que dans ce même rêve, Dieu a promis au roi Bulan que s’il abandonnait sa religion païenne et adorerait le seul vrai Dieu qu’il ” bénirait et multiplierait la progéniture de Bulan et lui livrerait ses ennemis dans ses mains, et ferait durer son royaume jusqu’à la fin du monde “.
Les savants pensent que le rêve avait été conçu pour simuler l’Alliance dans la Genèse et signifiait que les Khazars revendiquaient aussi le statut de race élue, et que les khazars avaient fait leur propre alliance avec l’Éternel, même s’ils n’étaient pas descendants de la postérité d’Abraham .” [12] [c’est nous qui soulignons]
Le roi Joseph le confirme dans son document, car il affirme avoir retrouvé formellement l’ascendance de sa famille, non pas à Shem le père des Shemides ou des peuples sémites, mais à un autre fils de Noé. “Bien qu’un nationaliste juif féroce, fier de brandir le”sceptre de Juda “, dit Koestler, il ne peut ni ne veut revendiquer pour eux la descendance sémitique, il trace leur ascendance … au…Troisième fils de Noé, Japhet, ou plus exactement au petit-fils de Japheth, Togarma, l’ancêtre de toutes les tribus turques.
Koestler ajoute une note de bas de page aux allégations généalogiques du roi Joseph qui est pertinente pour cette étude: ” Elle jette également un regard sur la description fréquente des Khazars comme le peuple de Magog “. Magog, selon Genèse 10: est l’oncle de Togarma. Ajoutez à cela que deux autres fils de Japheth, le progéniteur des Khazars, sont Meshech et Tubal, figures centrales dans les prophéties bibliques de la fin des temps.
La Réponse du Roi Joseph a également révélé que le successeur du roi Bulan, son fils Obediah, “a réorganisé le royaume et établi la religion [juive] convenablement et correctement», ramenant de nombreux sages juifs qui lui ” expliquaient les vingt-quatre livres [la Torah], Mishnah, Talmud, et l’ordre des prières. “
Ce retranchement dans la religion juive dépassa le royaume lui-même et a été transplanté, tout entier, dans les colonies d’Europe de l’Est de la Russie et de la Pologne. [13]
Quel que soit le mécanisme religieux (et / ou la chicane) qui a été mis en mouvement pour accomplir la tâche, la conséquence est historiquement indéniable que le roi Khazare a été effectivement converti au judaïsme talmudique. Et les conséquences temporelles de cette conversion ont traversé l’histoire comme une cloche déformée et tordue, répondant clairement aux déclarations prophétiques de la Fin des Temps de l’histoire de la terre.
LE DECLIN DES KHAZARS ET L’EMERGENCES DES ASHKENAZES
Le royaume khazare a atteint son apogée du pouvoir et de l’influence mondiale dans la seconde moitié du VIIIe siècle. Le glas de la mort de leur empire a été finalement vu le jour dans les navires à tête de dragon des Vikings qui ont dû traverser ,naviguer et prendre d’assault toutes les voies d’eau principales . Même la férocité légendaire des Khazares avait été dépassée par ces Norseman qui “ne daignent commercer qu’après avoir échoué à vaincre “: ils préféraient l’or glorieux et ensanglanté à un profit mercantile régulier». [14] On les appelait aussi Rus, d’où descendaient, entre autres, les Russes.

Parce que la littérature scandinave historique n’a commencé qu’après le temps des Vikings, peu de faits réels sont connus d’eux, avec une grande partie des récits qui sont apocryphes et contradictoires et presque aucun d’entre eux n’est élogieux à leur égard. De leur pouvoir militaire , cependant, presque tous les contes font le consensus. Dans son livre, Les Magyars au IXe siècle, C. A. Macartney cite l’historien arabe Ibn Rusta:
“Ces gens sont vigoureux et courageux, et quand ils descendent à terrains découverts, personne ne peut s’en échapper sans être détruit et leurs femmes saisies, et réduites en esclavage. [15]
Il a même été inventé un terme spécifique pour la férocité Viking: berserksgangr, à partir de laquelle est dérivé le mot anglais berserk.
“Telles étaient les perspectives,” dit Koestler, “auxquelles étaient confrontésles khazares”
Compte tenu de leur cruauté et de leurs prouesses militaires, ces vikings nordiques ont recentré leurs assauts et leurs pillages sur l’Empire romain byzantin, préférant le commerce avec les Khazares plutôt que de se brouiller avec eux.Bien que finalement vaincu en férocité, les Khazars étaient encore en mesure, pendant un certain temps, d’exiger leurs impôts de dix pour cent, même des Vikings sur l’ensemble de leur «cargaison» (pillage orthographié plus correctement) qui ont traversé leur terre.
Bien que finalement les surpassant en férocité, les Khazares étaient encore en mesure, pendant un certain temps, d’exiger leurs impôts de dix pour cent, même des Vikings sur l’ensemble de leur “cargaison” (orthographié plus correctement : pillage) qui ont traversé leurs terres.
Une histoire intéressante émerge de cette période de l’Empire Khazare qui donne un aperçu clair du schéma culturel émergeant qui devait finalement se répandre dans le monde entier.
En 912, les Vikings russes, armés de 500 navires, chacun équipé de 100 guerriers, se mirent à envahir et à piller les terres musulmanes au sud des Khazares, avec lesquels les Khazares avaient une alliance de protection en raison des milliers de fidèles musulmans dans l’armée de Kagan. Le commandant des Vikings russes envoya une lettre au Kagan demandant la permission de passer par son territoire, auquel le roi Khazare accéda , à la condition de recevoir en retour ,la moitié du butin .
Au retour des Vikings de leur mission sanglante, et en payant le tribut exigé par les Khazares, les musulmans fidèles au monarque Khazare, qui vivait dans la partie orientale de son royaume, ont demandé aux Kagan qu’ils soient autorisés à combattre les Vikings en représailles ,pour ce qu’ils avaient fait à leurs frères dans le Sud. Le roi leur accorda la permission de le faire, ce qui aboutit à l’éradication complète de la force Rus – à l’exception de cinq mille qui échappèrent et furent ensuite tués par les Butas et les Bulgares au Nord.
Voici une perspective classique de ce qui allait devenir l’héritage Khazare / juif dans presque toutes leurs affaires – commerciales, sociales ou culturelles: un roi qui devient un complice volontaire mais passif ,des maraudeurs Rus / Vikings , qui perçoit la moitié du butin qu’ils ont pris dans leurs assauts sanglants, et permet une attaque punitive contre eux par les musulmans sous son propre commandement, mais informe ensuite les Vikings de l’imminence de représailles qu’il a lui-même autorisé! [16]
L’affaiblissement de l’influence militaire khazare a eu une inattendue et tès grande influence, dans la mesure ou elle a fortement hâté l’extinction de l’Empire byzantin.Ils n’avaient plus une force assez puissante sur leurs frontières orientales pour empêcher les Vikings, les Mongols et autres d’envahir un territoire déjà affaibli .Les clans internes au sein de la Khazarie, était le prélude de la diffusion des graines Khazares / Juives dans toute la Russie et l’Europe de l’Est – et éventuellement, comme on le montrera, à la refonte de l’histoire du monde.
Le chant du cygne du royaume de Khazarie n’était pas un déclin précipité d’une série de batailles décisives ou cruciales, mais plutôt une succession progressive et évolutive qui plie succombent à des forces supérieures sur une période prolongée.
“En général, le royaume Khazar bien qu’affaibli ,persite “, dit S. W. Baron. ” Il a mené une défense plus ou moins efficace contre tous les ennemis jusqu’au milieu du treizième siècle, quand il a été victime de la grande invasion mongole enclenchée par Jengis Khan.Même alors il avait résisté obstinément jusqu’à la reddition de tous ses voisins. Mais avant et après le bouleversement mongol, les khazares envoyèrent beaucoup de rejetons dans les terres slaves sauvages, aidant finalement à construire les grands centres juifs de l’Europe de l’Est. [17]
“Ainsi donc, remarque Arthur Koestler, nous somme face au berceau de la partie numériquement superieure et culturellement dominante de la juiverie moderne.”
L’ancienne nation hébraïque avait commencé à se ramifier dans la Diaspora bien avant la destruction de Jérusalem.Sur le plan ethnique, les tribus sémitiques sur les eaux du Jourdain et les tribus Turko-Khazares sur la Volga étaient évidemment diamétralement éloignées l’une de l’autre.mais elles avaient au moins deux facteurs de formation importants en commun:Chacun vivait dans un carrefour principal où se croisaient les grandes routes commerciales reliant l’est et l’ouest, le nord et le sud;Une circonstance qui les a prédisposés à devenir des nations de commerçants, de voyageurs entreprenants ou de “cosmopolites sans racines” – comme l’a detestablement qualifié une propagande hostile.
Mais en même temps, leur religion exclusive a favorisé une tendance à rester entre eux et à se serrer les coudes, à établir leurs propres communautés avec leurs propres lieux de culte, des écoles, des quartiers résidentiels et des ghettos (à l’origine auto-imposés) dans n’importe quelle ville ou pays ils s’installent.Cette rare combinaison d’envie de voyager et de mentalité de ghetto, renforcées par les espérances messianiques et l’orgueil de race choisie, partagées tant les anciens Israélites que les Khazares médiévaux – même si ces derniers retraçaient leur descendance non à Shem [Sémites] mais à Japheth. “
Cette “diaspora” plus récente a eu pour résultat une forte influence, souvent politiquement écrasante Khazare / juive, en particulier en Hongrie et en Pologne, mais aussi dans toute l’Europe de l’Est .On retrouve des juifs dans des positions de pouvoir et d’influence politique dans pratiquement toutes les grandes catégories de la vie, des affaires et de la société. Il y eut peut-être déjà une petite population de ce que Koestler appelle de ” vrais juifs ” vivant dans cette région , mais il ne fait aucun doute que la majorité des juifs modernes provenaient des vagues migratoires de … Khazares qui ont joué tôt, un tel rôle dominant dans l’histoire hongroise”.
L’afflux Khazar dans la région Hongrie / Pologne n’était qu’une petite partie d’une “migration de masse” globale de leur patrie vers l’Europe centrale et orientale. Ils étaient employés comme “maîtres de monnaie, administrateurs du revenu royal, contrôleurs du monopole du sel [à ce moment-là, le sel était une marchandise précieuse souvent utilisée à la place de l’argent],percepteurs d’impôts et “prêteurs d’argent”, aujourd’hui appelés banquiers. [18]
Les Juifs d’Europe occidentale ont affiché historiquement un tel talent et leur perspicacité à la négociation et comme usuriers (prêteurs d’argent) que dans pratiquement n’importe quelle société et culture dans laquelle ils se sont trouvés, ils sont devenus les possesseurs et les contrôleurs de l’influence sur de grandes portions de la richesse de cette nation.”Au Moyen-âge , le commerce de l’Europe occidentale, écrivait Cecil Roth dans l’édition 1973 de l’Encyclopédie britannique, était en grande partie aux mains des juifs, y compris la traite des esclaves . “Les mots juifs et commerçants étaient utilisés comme des termes presque interchangeables. “
“La richesse variable du pays”, racontait Roth, “fut absorbée” par les Juifs, qui furent périodiquement amenés à régurgiter dans le trésor public”[Trésor national ou royal] [19] .Il était évident que la classe dirigeante devenait périodiquement intimidée par la masse de la richesse de son pays qui s’accumulait aux mains d’une si petite minorité – et qui plus est, une minorité très clanique .Cela donnerait logiquement à n’importe quelle autorité dirigeante une source de préoccupation – lorsqu’un groupe particulier contrôle virtuellement l’économie de la nation tout en semblant avoir une maigre allégeance au pays dans lequel ils réside.Un tel processus a évidemment conduit à la création d’un plan stéréotypé pour les juifs et les communautés juives qui a été exprimé – et a inter-agi – dans diverses cultures pendant des siècles.
“Le noyau central des juifs modernes “, remarque Koestler, ” , suivait ainsi la vieille recette: tapez fort dans tous les nouveaux horizons mais serrez-vous les coudes. [20] Ceci, comme nous l’avons déjà mentionné, était le parcours des juifs d’Europe occidentale, mais la similitude entre eux et les juifs Khazares est frappante, surtout dans leur aptitude inégalée pour les domaines économiques et politiques.
Cette masse de données historiques a conduit plusieurs historiens à supposer qu’une partie substantielle, et peut-être la majorité des juifs orientaux – et donc des juifs du monde – pourrait être d’origine Khazare, et non d’origine sémitique.
Les implications profondes de cette hypothèse peuvent expliquer la grande prudence exercée par les historiens en abordant ce sujet – s’ils ne l’évitent pas complètement. Ainsi, dans l’édition de l’Encyclopaedia Judaica de 1973, l’article “Khazares” est signé par Dunlop, mais il y a une section distincte traitant des ” Les juifs khazares après la chute du Royaume», signée par les éditeurs et écrite avec l’intention évidente de d’éviter de contrarire les croyants dans le dogme du peuple élu [21]

Abraham N. Poliak, Professeur d’histoire juive médiévale de l’université de Tel-Aviv d’avant-guerre , s’est demandé ” jusqu’où pouvons-nous aller en considérant ce judaïsme [khazare] comme le noyau de la grande colonie juive en Europe de l’Est.” Parlant des descendants de cette colonie, Poliak déclare: ” ceux qui sont restés là où ils étaient, ceux qui ont émigré aux États-Unis et dans d’autres pays, et ceux qui sont allés en Israël – constituent maintenant la grande majorité des juifs du monde “. [22] Certains historiens, comme l’Autrichien Hugo Kutschera, affirment que le judaïsme d’Europe de l’Est ne faisait pas partie, mais était entièrement d’origine khazarienne. [23]
LA LANGUE DES KHAZARS
Il y a une preuve supplémentaire que les Juifs d’Europe de l’Est (Khazares) n’était pas d’origine occidentale , est le yiddish, le langage couramment utilisé par les Juifs d’Orient. Le yiddish était, jusqu’à la fin du XXe siècle, une langue en voie de dipsparition. Il s’agit d’une amalgame de plusieurs langues, principalement hébreu, et écrite avec des caractères hébraïques, mais qui comprend une grande partie de l’allemand médiéval et des composants d’autres langues comme le slave. Il a été clairement démontré , que les éléments allemands incorporés au yiddish étaient originaires de l’est de l’Allemagne où ils ont rejoint les régions slaves de l’Europe orientale. Le yiddish est une sorte d ‘«éponge» linguistique en ce qu’il absorbe et incorpore facilement les mots ou expressions idiomatiques qui conviennent le mieux à son but. Il serait donc naturellement devenu un marqueur culturel pour la région dans laquelle il a été parlé, absorbant les indicateurs révélateurs de dialecte comme un tatouage. [24]
Quand les Khazares au premier siècle AJC ,ont envahi l’Europe de l’Est, leur langue maternelle était une langue asiatique, désignée dans l’Encyclopédie juive comme la “langue khazare”. C’étaient des dialectes asiatiques primitifs sans alphabet ni aucune forme écrite. Lorsque le roi Bulan fut converti au VIIe siècle, il décréta que les caractères hébraïques qu’il voyait dans le Talmud et d’autres documents hébraïques allaient devenir l’alphabet de la langue khazare. Les caractères hébraïques ont été adaptés à la phonétique de la langue Khazar parlée. Les Khazars ont adopté les caractères de la soi-disant langue hébraïque afin de fournir un moyen de garder desmanuscrits de leur langage. L’adoption des caractères hébraïques n’avait aucune implication raciale, politique ou religieuse.
Les nations non civilisées d’Europe occidentale qui n’avaient pas d’alphabet pour leur langue parlée adoptaient l’alphabet de la langue latine dans des circonstances comparables. Avec l’invasion de l’Europe occidentale par les Romains, la civilisation et la culture des Romains ont été introduites dans ces zones non civilisées. Ainsi l’alphabet latin a été adopté pour les langues française, espagnole, anglaise, suédoise et beaucoup d’autres langues d’Europe occidentale. Ces langues étaient complètement étrangères l’une à l’autre mais elles utilisent toutes le même alphabet. Les Romains ont apporté leur alphabet avec leur culture à ces nations non civilisées exactement comme les rabbins ont apporté l’alphabet hébreu de Babylonie aux Khazares quand ils l’ ont présenté sous la forme de l’alphabet du Talmud.
Depuis la conquête des Khazares par les Russes et la disparition du Royaume Khazare, la langue des Khazares est connue sous le nom de Yiddish. Pendant environ six siècles, les soi-disant “juifs” d’Europe de l’Est se sont référés à eux-mêmes – alors qu’ils résidaient encore dans leurs pays d’Europe de l’Est – comme étant de nationalité “yiddish” . Ils se sont identifiés comme “yiddish” également. Il existe aujourd’hui à New York de nombreux journaux “yiddish”, des théâtres “yiddish” et de nombreuses autres organisations culturelles de soi-disant ou soi-disant “juifs” d’Europe orientale qui sont identifiés publiquement par le mot “yiddish” dans leur titre .
Avant d’être connue sous le nom de langue “yiddish”, la langue maternelle des Khazares ajoutait en les considérant comme une necessité absolue,de nombreuses paroles à son vocabulaire antique limité .Ces mots ont été acquis à partir des langues des pays voisins avec lesquels ils avaient des relations politiques, sociales ou économiques.Ces langues de toutes les nations qui ont été ajoutée à leur vocabulaire, étaient considérées aussi , comme un ajout necessaire.Les Khazares ont adopté un grand nombre de mots de la langue allemande. Les Allemands avaient une civilisation beaucoup plus avancée que leurs voisins Khazares qui envoyaient leurs enfants dans des écoles et des universités allemandes.
La langue “yiddish” n’est pas un dialecte allemand. Beaucoup de gens sont amenés à le croire parce que le yiddish a emprunté tant de mots de la langue allemande. Si le “Yiddish” est un dialecte allemand acquis des Allemands, alors quelle langue les Khazars ont-ils parlé pendant les 1000 ans avant qu’ils soient partis pour l’ Europe de l’Est ,et avant d’avoir acquis la culture des Allemands? Les Khazars doivent avoir parlé une certaine langue lorsqu’ils ont envahi l’Europe de l’Est. Quelle était cette langue? Quand donc l’ont-ils abandonnée ? Comment la population khazar entière a-t-elle abandonné une langue et en a-t-elle adopté une autre soudainement? L’idée est trop absurde pour en discuter. “Yiddish” est le nom moderne attribué à l’ancienne langue maternelle des Khazars avec des ajouts de nombreux mots allemands, slaves et baltiques qu’ils ont adoptés et adaptés .
Le “yiddish” ne doit pas être confondu avec l’ “hébreu” bien qu’ils utilisent tous les deux les mêmes caractères pour leurs alphabets. Il n’y a pas un mot de “yiddish” dans l’ancien “hébreu” ni il n’y a pas un mot d’ “hébreu” dans le “yiddish”. Comme indiqué précédemment, ils sont tout aussi différents que le suédois et l’espagnol qui utilisent tous deux les mêmes caractères latins pour leurs alphabets. La langue “yiddish” est le dénominateur commun culturel pour tous les soi-disant ou prétendus “juifs” dans ou d’origine l’Europe de l’est. Aux soi-disant ou prétendus “juifs” dans ou d’ l’Europe de l’Est, le “yiddish” leur sert comme la langue anglaise sert les populations des 50 états des États-Unis. Leur dénominateur commun culturel dans les 50 États est la langue anglaise, partout où ils peuvent émigrer et se réinstaller. La langue anglaise est le lien qui les lie les uns aux autres. Il en va de même pour la langue “yiddish” et les soi-disant ou prétendus “juifs” à travers le monde.
Le yiddish sert un autre but très utile pour les soi-disant ou prétendus ” juifs “dans le monde entier. Ils possèdent en yiddish ce qu’aucun autre groupe national, racial ou religieux ne peut prétendre avoir . Les “juifs” autodidactes qui vivent dans 42 pays différents du monde d’aujourd’hui sont soit des émigrants d’Europe orientale, soit leurs parents ont émigré d’Europe de l’Est. le “yiddish” est une langue commune à tous comme leur première ou seconde langue selon l’endroit où Ils sont nés.Il s’agit d’une langue “internationale” pour eux. Quelque soit le pays dans le monde ou ils peuvent s’installer, ils trouveront toujours des coreligionnaires qui parlent aussi “yiddish”. Le “yiddish” bénéficie d’autres avantages internationaux trop évidents pour être décrits ici. Le “yiddish” n’a jamais eu d’implication religieuse, malgré l’utilisation de caractères hébraïques pour son alphabet. Il ne doit pas être confondu avec des mots comme “Juifs”. Le “yiddish” est le langage moderne d’une nation qui a perdu son existence en tant que nation. – Et c’est déjà beaucoup.
L’ORIENTATION DE LA MIGRATION
Un autre historien autrichien respecté, Matisyohu Meises, s’interroge: ” Est-ce que le point de vue généralement accepté, selon lequel les Juifs allemands ont jadis immigré de la France à travers le Rhin, soit méconnu ? Meises, qui ne connaissait pratiquement rien des Khazars, était perplexe devant le fait qu’aucune racine linguistique yiddish ne pouvait être reliée à l’Europe occidentale. Il a également noté , qu’inexplicablement, il y avait un grand fossé géographique délimitant clairement le yiddish parlé par les transplantations Khazars orientales de n’importe quel parlé en Europe occidentale. [25]
“Les éléments de preuve, ajoute M. Koestler, sont en somme un argument fort en faveur des historiens modernes, qu’ils soient autrichiens, israéliens ou polonais, qui, indépendamment l’un de l’autre, ont fait valoir que la plus grande partie de courant principal des migrations juives n’étaient pas d’origine palestinienne mais du Caucase.Le courant principal des migrations juives ne coulait pas de la Méditerranée à travers la France et l’Allemagne à l’est et puis inversement. Le courant se déplaçait dans une direction constamment orientée vers l ‘ouest, du Caucase à l’ Ukraine jusqu’en Pologne et de là en Europe centrale. Quand ce rassemblement massif sans précédent en Pologne a vu le jour, il n’y avait tout simplement pas assez de juifs dans l’ouest pour en rendre compte; Tandis qu’à l’est une nation entière était en mouvement vers de nouvelles frontières. “[26]

Avec l’évidence écrasante que la population juive moderne est d’origine Khazare, Koestler remarque que cela indiquerait clairement que “leurs ancêtres sont venus non pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, que l’on croyait être le berceau de la race aryenne, et que génétiquement ils sont plus étroitement liés aux tribus des Hun, Uigur et Magyar que à la semence d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Cette conclusion aurait alors logiquement rendu l’épithète “antisémite” “vide de sens”, dit Koestler.
Cette dernière conclusion est une situation que les arabes palestiniens pourraient fort bien partager avec M. Koestler parce que cette révélation place ironiquement le juif moderne, occupant actuellement la Palestine, dans la position peu enviable qu’eux-mêmes, sont antisémites – une moquerie historique aux proportions assez étonnantes. [27]
QU’EST-IL ARRIVÉ AUX VRAIS JUIFS ?
Mais d’aucuns peuvent se demander, qu’est-il donc adevenu de la plus grande partie de la population de “vrais juifs”?
Après que le royaume de Salomon ait été divisé en deux parties sous son fils Roboam, Sennacherib d’Assyrie a lancé sa campagne de conquête. Il conquit d’abord Gad, puis Ruben et la demi-tribu de Manassé, les expulsant vers le pays de Mèdes. Puis il attaqua la Samarie et les expulsa. La troisième phase a été d’attaquer toutes les villes fortifiées de Juda, qui comprenait la tribu de Benjamin, où il a de nouveau réussi, déportant deux mille cent cinquante hommes. Les femmes et les enfants augmenteraient ce nombre d’au moins cinq fois.
L’importance de ceci devient évidente quand on se souvient que le peuple d’Israël a été divisé en deux nations séparées – Israël et Juda, et que quand les Assyriens ont conquis Israël et ont conduit les Israélites en captivité à Médes, ils ont également pris certains d’entre eux des districts de Judée. Il est donc certain qu’entre les Israélites à Médes, il y avait un groupe distinct qui serait connu sous le nom pluriel de Judah – Judahites, Judae, Judai, Judi ou Judes.
La quatrième phase du plan de Sennacherib était de vaincre Jérusalem, mais cela ne s’est jamais produit. Dieu avait d’autres projets! L’ange de l’Éternel dans la nuit a détruit l’armée de Sennachérib qui est retourné en Assyrie où ses fils l’ont assassiné. Yéhovah a protégé un reliquat de son peuple pour recevoir le Messie à sa première apparition. Les attaques ont continué jusqu’à ce que Nabuchodonosor a vaincu et détruit Jérusalem. Ils furent ensuite expulsés vers Babylone pendant soixante-dix ans, jusqu’à ce qu’il fut décidé qu’ils pouvaient rentrer chez eux et reconstruire Jérusalem et le Temple. Environ 50.000 Judaïques sont revenus et leurs familles sont listées dans l’Ecriture.
Ainsi, les 200 150 hommes de Juda et de Benjamin se sont unis avec les dix tribus et ont émigré vers l’ouest avec leurs frères.
Les Judéens s’installèrent dans le pays de Sepharad (ou Sefarad), nom de l’Espagne en hébreu. Il a également été affirmé qu’un grand nombre d’entre eux sont arrivés en Espagne peu de temps après que le roi babylonien Nebuchodonezor II a conquis Jérusalem et a détruit le Temple en 586 avJ-C.Il y avait une légende parmi les Sefarades que Toletum (Tolède), la capitale de l’Espagne, a été fondée par les réfugiés de Judéens de Jérusalem. Une étymologie populaire avait expliqué son nom (prononcé par les Judéens “Tolaïtola”) à dériver du mot hébreu “tolatola” signifiant exil ou, selon une autre explication, de “toledoth” signifiant “générations”.
Les Sefarades ont considéré cette ville comme une seconde Jérusalem et ont recréé une Palestine quasiment nouvelle autour d’elle: les villes d’Escaluna, de Maqueda, de Jopez et d’Azeque ont été érigées dans les terres adjacentes à la mémoire du Palestinien Ashkalon, Makedda, Joppa (Yafo) et Azeka. Les familles Ibn-Daud et Abrabanel (Hebreu) étaient fières de revendiquer leur descendance de la maison du roi David – le père de Salomon. Des communautés judéites ont également été fondées à Cathago Nova (Carthagène), Cordoue, Grenade, Saragosse (Zara-gossa), Taragona et toute la péninsule ibérique.
Après la destruction du Second Temple en 70 A.D., ces premiers immigrants ibères judaïtes ont été rejoints par ceux qui avaient été asservis par les Romains pendant les guerres juives-romaines (70 et 135 av. J.-C.) et dispersés dans l’extrême ouest. Une estimation (bien que reconnue comme étant peut-être “exagérée”) place le nombre de Judéens (Judahites) emmenés à Iberia au cours de cette période à 80.000. Note l’Encyclopaedia Britannica
Après la destruction du Second Temple en 70 av J-C, ces premiers immigrants ibères judaïtes ont été rejoints par ceux qui avaient été asservis par les romains pendant les guerres juives-romaines (70 et 135 av. J-C.) et dispersés dans l’extrême ouest. Une estimation (bien que reconnue comme étant peut-être “exagérée”) place le nombre de Judéens (Judahites) emmenés à Iberia au cours de cette période à 80.000. Note l’Encyclopaedia Britannica:
Déjà, avant la destruction de Jérusalem, la diaspora était un phénomène familier en Europe. Les prisonniers capturés dans d’innombrables guerres [avec les Romains] et distribués par l’Empire comme esclaves s’était poursuivi (sinon précédés) par des marchands et des commerçants.Les écrivains latins de l’époque d’Auguste [César] montrent à quel point les pratiques juives [judahites] ont été répandues dans le monde civilisé de leur époque.Paul les a retrouvés en Grèce et en Italie, La synagogue avait essaimé: au début du IVe siècle, on trouvait des colonies aussi lointaines que l’Espagne et la Rhénanie (1943, tome 13, p.56)
Il est certain que l’immigration post-judéite subséquente en Iberie existait, en atteignant la région,il ont voyagé le long des côtes Nord-Africaines et méridionales de la Méditerranée. En effet, au cours des deuxièmes et troisièmes siècles, les juifs avaient établi des communautés , partout ,dans les villes de l’Empire romain.
Un fait historique souvent négligé : le fait que la grande majorité de la tribu de Juda a fini dans les confins occidentaux de l’empire romain! Parmi les envahisseurs saxons de Grande-Bretagne se trouvaient les JUTES, un peuple qui est venu (sous la direction des frères Hengist et Horsa) d’une partie du Danemark encore appelée JUTLAND, et se sont installés dans le Kent et sur l’île de Wight. Cela s’est produit en l’an 449 A.JC. Ceux de la tribu de Juda étaient connus comme Jutes et fait leur chemin à travers le Jutland vers la Grande-Bretagne où la tribu Zarah avait précédemment émigré.
Cela devient évident quand on se souvient du grand changement qui a eu lieu dans les langues de l’Europe septentrionale quelque temps avant 100 avant JC, par lequel un grand nombre de mots qui avaient précédemment en eux le son de notre lettre “d” a changé cela au son de “t”. (Loi de Grimm). Comme ce changement s’est produit pendant les années où les Saxons émigraient vers l’Europe occidentale depuis leur ancienne maison à l’est de la mer Noire, il est évident que les gens qui sont arrivés au Danemark comme Jutes doivent avoir commencé comme Judes ou Judai.
En outre, comme toutes les tribus saxonnes, y compris les Jutes, descendaient du Sacae (Sacasene) des Médias, il s’ensuit que les Sacae doivent avoir eu entre eux une tribu appelée Judes ou Judai avant même qu’ils aient quitté Media.
Nous avons donc sept faits connus à considérer : (1) que lorsque le peuple d’Israël a été déporté à Média par les Assyriens, une partie du peuple du Royaume de Juda a été emportée avec eux; (2) que, par conséquent, il y avait parmi les Israélites à Média un groupe de Judahites, Judai ou Judes; (3) qu’après les guerres judéo-romaines de 70 et 135 av. J.-C., jusqu’à 80 000 esclaves judaïtes furent dispersés dans la péninsule ibérique par les Romains; (4) que chez les Saxons qui sont entrés en Grande-Bretagne il y avait une tribu appelée Jutes; (5) qu’au cours de leur migration vers l’ouest à travers l’Europe, les “d” dans leur langue deviennent “t” ; (6) que les Saxons étaient descendants des Sacae de Média ; Et (7) que Sacae est le nom par lequel les Israélites à Médias étaient connus des historiens perses.
Il est donc certain que les JUTES étaient à l’origine appelés Judes ou Judai, et qu’ils étaient les descendants de la partie du peuple de JUDAH que les Assyriens emportèrent avec Israël vers Média .
Le Résultat des Croisades :
Vers la fin du neuvième siècle, les colonies juives d’Allemagne, presque toutes d’origine sémitique, avaient été pratiquement anéanties par l” “hystérie de masse ” issue de la Première Croisade en 1096. L’Encyclopédie Britannica sur les Croisades décrit vivement l’état d’esprit des croisés:
«Il pourrait tout massacrer, jusqu’à ce que le sang parvienne, à cheval jusqu’à la cheville, et à la tombée de la nuit s’agenouiller, en sanglotant de joie, à l’autel du Sépulcre, car n’était-il pas rouge de la pressoir du Seigneur? [28]

Les juifs qui se trouvaient dans ce “pressoir” ont aidé de façon significative à leur propre décès. Comme ceux de Masada qui se sont suicidés en masse plutôt que de se rendre aux armées de Rome, un grand nombre de Juifs de la Rhénanie et des pays voisins, lorsqu’on leur donna le choix du baptême en “christianisme ” ou de mort aux mains de leurs ravisseurs, n’ont choisi aucune des deux, optant pour la solution Masada.
Imitant sur une grande échelle la disposition d’Abraham à sacrifier Isaac, les pères ont massacré leurs enfants et les maris leurs épouses. Ces actes d’horreur et d’héroïsme indescriptibles ont été exécutés sous la forme rituelle d’abattage avec des couteaux sacrificiels aiguisés conformément à la loi juive. Parfois, les grands sages de la communauté, surveillant l’immolation de masse, étaient les derniers à se séparer de la vie de leurs propres mains. Dans l’hystérie de masse, sanctifiée par l’éclat du martyre religieux et compensée par l’attente confiante des récompenses célestes, rien ne semblait avoir d’autre importance que de mettre fin à la vie avant que l’on ne tombe entre les mains d’ implacables ennemis et de faire face à l’alternative inéluctable de la mort de la main de l’ennemi ou la conversion au christianisme. [29]
Parmi les villes allemandes de Worms et de Spire, représentatives d’une certaine manière de l’ensemble des communautés d’Europe occidentale dévastées par les Croisades, Salo Baron écrit que “la population juive totale de l’une ou l’autre des communautés avait à peine dépassé les chiffres … donnés pour les seules morts “. [30]
Le concept historique le plus commun, avant la révélation moderne de l’existence de la Khazarie, était que la Croisade de 1096 avait littéralement “balayé comme avec un balai” pratiquement toute la population juive allemande vers la Pologne. C’était une invention de nécessité apparente parce que ces historiens ne pouvaient comptabiliser en aucun cas la population inexplicablement vaste des juifs d’Europe de l’Est. Ils ont conclu ceci en face de l’absence totale de tout compte rendu historique d’une migration massive des juifs vers l’Allemagne de l’Est et certainement pas la Pologne
À la fin des années 1300, une grande partie d’Europe occidentale était, à toutes fins pratiques, complètement vide de toute population juive . Ce que les Croisades n’ont pas réussi à accomplir dans l’éradication du judaïsme de l’Europe occidentale, la “Mort Noire” – les fléaux buboniques des bacilles Pasteurella pestis – a pratiquement achevé. Ces Juifs de cette époque , souffraient doublement; De la peste elle-même et de la prolifération de rumeurs superstitieuses qu’ils étaient responsables de la maladie en empoisonnant des puits, comme on les blâmait plus tôt pour “l’abattage rituel d’enfants chrétiens”. Cela a entraîné la combustion vivante des juifs en grand nombre sur toute l’Europe. [31] Plus tard, certains juifs sépharades d’Espagne ont immigré vers le nord, représentant certaines des plus petites populations juives d’Europe occidentale.
Définition du terme ” juif “
“En raison de l’histoire longue et variée des “juifs”, dit l’édition 2001 de World Book Encyclopedia, “il est difficile de définir un Juif. Il n’existe pas de race juive, Et les facteurs ethniques, ainsi que ceux qui auraient pu réellement prétendre appartenir à la généalogie d’Abraham et d’origine sémitique vraie ont été éteints en Europe de l’Est comme une race discernable, remplacés par les Khazares blancs du Transcaucasie, dont aucun de leurs ancêtres, comme Benjamin Freedman l’a déjà exprimé,n’a jamais mis un pied dans la terre de Palestine. Cela pose un sérieux problème avec l’engouement du christianisme moderne envers les juifs et leur “retour à leur Patrie”, en demandant: Comment peut-on revenir à un endroit où ils n’ont jamais été?
Les juifs modernes sont essentiellement divisés en deux grandes catégories, ethniquement et culturellement: Sephardes et Ashkenazes.
Les premiers sont principalement d’origine espagnole; Le nom de Sepharde étant dérivé, comme nous l’avons vu, de Sepharad, le mot hébreu pour l’Espagne, et sont vraisemblablement les plus proches des juifs sémites réels qui peuvent être établis à part les Jutes. Ils ont été expulsés d’Espagne vers le début du XVIe siècle et ont immigré dans la Méditerranée orientale et dans les Balkans.
Jusque dans les années 1960, les Juifs sépharades ne comptaient que 500 000, comparés aux Ashkenazes de la même période estimés à environ douze millions. [32]
En définissant les origines des Ashkénazes, Alan Brook déclare que ” la localisation géographique des Ashkenazes, basée sur des références dans la Torah, peut être centrée autour du sud de la Russie, de l’Arménie et de l’Asie Mineure.Les ashkaenoi (askae ou askai) aussi connus comme phrygians ou mysians (meshech). ” Certains historiens affirment que le nom ashkenaze s’applique exclusivement aux juifs allemands. Cependant, des preuves plus récentes montrent qu’ils avaient immigré des régions du sud de la Russie et de l’Asie occidentale et de l’Asie Mineure – cette région clairement identifiée comme l’emplacement et l’origine des Khazares anciens. Le nom a indiqué initialement les iraniens et a été plus tard donné comme le nom de la divinité de Meshech, “Men Askaenos” . “Il faut également souligner, ajoute Brook,” qu’ashkenaze n’est pas devenu une désignation juive définitive pour l’Allemagne jusqu’au XIe siècle “. [33]
“Selon l’explication du Talmud”, écrit Hugo Freiherr, “Ashkenaz signifie donc un pays près de la mer Noire entre Ararat et le Caucase, dans la région originale de l’empire Khazar”. [34] Ceci, encore une fois, est précisément la localité géographique de l’empire khazarien. L’observation talmudique est encouragée par l’Écriture qui nomme Ashkenaz comme descendant non pas de Shem, mais de Japheth à Gomer, et dont les oncles étaient Magog et Tubal (Voir Genèse 10: 3).
Ashkenaz (alt. Orthographe: Ashchenaz) est mentionné dans une écriture autre que 1 Chroniques 6: 1, qui n’est qu’une autre référence à la généalogie en descendant de Japheth. Dans le livre de Jérémie, le prophète, Dieu annonce qu’Israël doit appeler d’autres nations comme alliées pour porter ses jugements contre Babylone. Parmi ces alliées, qui ne font PAS partie d’Israël ou de Juda, et ne peuvent donc être comptées comme juivent, figure Ashchenaz (voir Jérémie 51:27).
L’UNESCO, l’Organisation des Nations Unies pour l’ Éducation, la Science et Culture, a publié une série de brochures intitulée La Question de la Race dans la Science Moderne (The Race Question in Modern Science) , dans laquelle l’un des auteurs, Harry Shapiro, déclare:
” Le large éventail de variations entre les populations juives dans leurs caractéristiques physiques et la diversité des fréquences génétiques de leurs groupes sanguins rendent une classification raciale unifiée paradoxale. Bien que la théorie raciale moderne admet un certain degré de polymorphisme ou de variation au sein d’une Groupe racial, il ne permet pas à des groupes distinctement différents, mesurés par leurs propres critères de race, d’être identifiés comme étant un seul. Cela rendrait les objectifs biologiques de la classification raciale futiles et toute la procédure arbitraire et sans signification … malgré la Des efforts de preuve continuent à être faits pour distinguer de quelque manière les juifs en tant qu’entité raciale distincte “. [35]
Ainsi, tenter de réclamer l’existence d’une “race” de juifs s’est révélé être une impossibilité anthropologique. Bien que leur Dieu les a constamment prévenus de se mêler entre les races non juives, leurs tendances de metissage sont bien établis et ont abouti à leur effacement complet en tant que peuple génétiquement distinct.
Quand, inévitablement, il y avait un mélange de juifs d’Europe occidentale et de Khazariens, il y avait une différence notable entre les niveaux d’éducation des deux sous-cultures juives. Les Khazars ont beaucoup admiré leurs frères occidentaux (parlant allemand) beaucoup moins nombreux mais beaucoup plus savants et ont rapidement adopté leur langue, leur éducation et leurs pratiques culturelles. Cela a également abouti à l’assimilation de leurs autres talents dans le domaine de l’économie, des affaires et des choses de la politique.
“Les Khazars ne sont pas descendus des tribus”, dit Koestler, “mais, comme nous l’avons vu, ils ont partagé un certain cosmopolitisme et d’autres caractéristiques sociales avec leurs co-religionnaires”. [36]
Un Foyer National
Quelque part dans les racines historiques des Khazares Ashkenazi, il y eût un désir de posséder une patrie nationale juive. Ce désir s’exprimait sous la forme d’un mouvement messianique au XIIe siècle en Khazarie qui prit la forme d’une “croisade juive” dont le but était l’assujettissement forcé de la Palestine. Un Juif Khazar nommé Solomon ben Duji a incité le mouvement et a commencé une correspondance internationale avec tous les juifs des nations environnantes.
Il semble que Ben Duji ait eu des illusions messianiques, en ce qu’il prétendait que “le temps était venu où Dieu réunirait Israël, son peuple de toutes les terres à Jérusalem, la ville sainte, et que Salomon Ben Duji était Élie, Et son fils, le Messie”. [37]
Ce désir d’une patrie juive a fait écho au cours des siècles et s’est manifesté encore une autre fois. “C’était parmi les juifs ashkénazes”, dit l’Encyclopédie Americana, “que l’idée du sionisme politique a émergé, menant finalement à l’établissement de l’état d’Israël … À la fin des années 1960, les juifs Ashkénaze comptent environ 11 millions, environ 84 % de la population juive mondiale “. [38]
Parfois, Arthur Koestler, dans son traitement large et étendu de ce sujet, apparaît, en tant que juif lui-même, pour lutter contre la contradiction flagrante selon laquelle les Juifs, qui n’ont aucune identité ethnique génétique ou vraie, se sont arrogés le droit d’acceder à des terres qu’ils n’ont jamais eu, ni parun droit de descendance, ni par droit de détention ou de possession, et dont les ancêtres n’ont jamais occupé. Puis, prétendant être l’état d’Israël, créé arbitrairement par les Nations Unis , ils ont tout aussi arbitrairement retiré cette terre de la possession de ceux qui l’ont légitimement détenue et occupée pendant des milliers d’années. M. Koestler prétend qu’un tel droit ” n’est pas fondé sur l’origine hypothétique du peuple juif, ni sur l’alliance mythologique d’Abraham avec Dieu, fondée sur le droit international – c’est-à-dire sur la décision des Nations Unies en 1947 de diviser la Palestine … [effectivement déclaré, le 14 mai 1948.] “[39]
Ainsi, il élimine ce qui semble , logiquement , être le motif le plus légitime (s’il y en a eu un quelconque) pour la création d’Israël (possession par lignage racial) et fonde son argument sur la thèse vaporeuse de ce qu’il appelle le ” droit international “.
Ce que les Nations Unies ont fait en 1948 pour faire de leur premier acte officiel, une violation de sa propre charte dans la dépossession de plus de quatre millions de Palestiniens dans le but de créer une nation qui n’avait aucun droit ancestral ou actuel à la terre.
Le conflit apparent dans l’esprit de Koestler devient évident dans une contradiction apparente puisqu’il conclut que la foi du judaïsme “a transformé les juifs de la Diaspora en une pseudo-nation sans aucun des attributs et privilèges de la nation, maintenu librement par un système traditionnel Croyances fondées sur des prémisses raciales et historiques qui se révèlent illusoires “. [40] Indique succinctement qu’il soutient que l’idée d’une identité nationale juive repose sur une illusion créée par une histoire qui n’existe pas.
On montrera que l’afflux de ce que nous savons maintenant être des Juifs d’origine khazarienne a constitué la première “invasion” de Gog de la terre de Magog, telle que prophétisée dans l’Écriture biblique. L’aspect fascinant est que, comme pour pratiquement toutes les autres prophéties, ceux qui revendiquent la prééminence théologique dans leur connaissance de l’Écriture ont totalement manqué l’accomplissement – tout comme les Juifs à la première venue du Messie.
Gog, Magog et les Ashkénazes
Ça a été longtemps la croyance au vingtième (et maintenant vingt et unième ) siècle dans le christianisme , qu’à l’approche de la fin de l’histoire de ce monde, tel que décrit dans la Bible, Gog de la terre de Magog, définie par ces chrétiens comme la Russie – ” le Roi du Nord “- envahirait la Terre Sainte de ce qui est actuellement appelé Israël .
Les Ministères religieux mondiaux et locaux de la foi chrétienne conservatrice passent beaucoup de temps dans les tentatives de “décoder” les prophéties telles que celles trouvées dans Ezekiel 38 et 39, Daniel 11 et Apocalypse 20 – et presque tous sont arrivés à la conclusion indiquée ci-dessus. Dans la plupart des cas, la croyance en l’invasion d’Israël par la Russie et la défaite de l’anté-Christ dans la guerre subséquente d’Armageddon est accompagnée du fait qu’il y aura un règne de paix de mille ans après que le Messie revienne sur la terre.
Les représentant de cette croyance presque universelle sont : Grant Jeffrey, Tim LaHaye (coauteur principal de la série de livres Left Behind [Les Laissés pour compte], les Ministères religieux de Jack Van Impe, etc.
Van Impe, évangéliste est largement connu à la radio et à la télévision , il a publié des volumes de littérature sur la prophétie biblique et beaucoup sur le sujet de Gog et Magog.
“Lorsque la Russie se dirigera vers le sud pour se battre”, écrit Van Impe dans un article intitulé Armageddon: Le Début ou la Fin ? : “Elle sera une force terrible, alors qu’elle vient contre l’armée de l’Antéchrist avec des chars, des cavaliers et de nombreux navires. C’est la première vague militaire”, poursuit Van Impe, de la campagne à trois volets de l’Armageddon mentionnée dans Daniel 11:40 Lorsque le roi du midi (Egypte et sa fédération arabe) et le roi du nord (Russie) commenceront leur mouvement de tenaille. Ezekiel 38:16 dit: ” Tu viendras contre mon peuple d’Israël, comme un nuage qui couvrira la terre, ce sera les derniers jours de la fin, et je te ferai marcher contre mon pays,afin que les nations me connaissent, quand je serai sanctifié en toi, devant leur yeux Ô Gog “. Une fois que la Russie aura agi, l’Antéchrist sera furieux. Il entrera dans la ‘terre glorieuse’, ‘Israël’ anxieux .
“Immédiatement”, conclut Van Impe, il se déplace à Jérusalem. “
En référence à l’ancien président russe Boris Yeltsin et à d’autres dirigeants russes, Van Impe se demande: “L’ un de ces leaders ci-dessus pourrait-il être le ‘Gog’ d’Ezekiel 38: 2 ?”
Cette perspective scripturaire de Gog envahissant Israël du nord dans le futur est également largement soutenue par des théologiens juifs. Par exemple, dans un article de Jerusalem Post d’octobre 1996 intitulé “All a-Gog” [Tout à Gog], le chroniqueur Moshe Kohn traite le sujet:
“La guerre pour mettre fin à toutes les guerres doit être lancée contre Eretz Yisrael par ‘Gog du pays de Magog, chef et prince de Meshech et Tuval’ comme annoncé dans Ezekiel 38 et 39.
“Nous ne savons pas quoi ou qui sont Magog, Meshech, Tuval et Gog, nous savons que Gog et ses alliés doivent descendre sur Eretz Yisrael depuis le nord. Dieu détruira les envahisseurs et ” je restaurerai le fortune de Jacob, et aurai pitié de toute la maison d’Israël … et je ne cacherai plus mon visage.
Le Nouveau Testament mentionne également la Guerre Gog / Magog, dans Apocalypse 20, comme la bataille finale entre les dirigeants de la Terre dirigée par satan contre les forces de Dieu. Dans cette version, cette guerre peut aussi être ce qui est connu dans la tradition chrétienne comme la Bataille d’Armageddon, un lieu mentionné dans Apocalypse 16:16. “[41]
Voyez comment certains historiens voient les origines de Gog et Magog:
Flavius Josephe a affirmé que ” Magog a fondé ceux déscendance sont nommés Magogites, mais que les grecs appellent : Scythes” . [42]
Josephe a vécu et est mort un demi-millénaire avant la fondation du royaume de Khazarie et ne pouvait donc pas relier ceux de la région des Scythes aux Khazares. L’Encyclopédie catholique observe que “Josephus et d’autres identifient Magog avec la Scythe, mais dans l’antiquité, ce nom a été utilisé pour désigner vaguement toute population du Nord”. [43]
Cependant, Josephe a un commentaire intéressant sur Tubal, le frère de Magog et Meshech, qui semble être spécialement adapté pour leurs descendants, les Khazares: “Tubal a dépassé tous les hommes en force et a été très expert et célèbre dans les performances martiales. ” [44]
Vasiliev dans “The Goths in the Crimea” inspiré de “La Vie par Saint Abo de Tbilisi “, a affirmé que “les Khazares étaient les fils sauvages de Magog” qui n’avaient aucune religion, quoiqu’ils reconnaissent l’existence d’un seul Dieu “[45 ]
Les références faites par le rabbin Petakhiah dans son carnet de voyage “Sibbuv ha-Olam”, concernant la conversion du roi Bulan au judaïsme, font remarquer que le royaume était celui de l’ancienne Meschech. [46]
En accord avec la terminologie prophétique biblique, Koestler écrit que les Perses et les Byzantins se réfèrent à la Khazarie comme le “Royaume du Nord” avec lequel presque tous les théologiens modernes relient Gog et Magog. [47]
Ibn Fadlan, le célèbre voyageur arabe des années 700 a fait écrit dans ses publications que “les Khazars et leur roi sont tous juifs. Les Bulgares et leurs voisins leur sont soumis. Ils les traitent avec une obeissance aveugle. Certains sont d’avis que Gog et Magog sont les Khazares. “
“Le moine de Westphalie, Christian Druthmar d’Aquitaine, a écrit dans son traité latin [Expositio dans Evangelium Mattei], dans lequel il rapporte qu’il existe des gens sous le ciel dans des régions où aucun chrétien ne peut être trouvé, dont le nom est Gog et Magog et qui sont des Huns; Parmi eux, un, appelé Gazari [Khazars] qui sont circoncis et observent le judaïsme dans son intégralité “. [48]
“Après un siècle de guerre”, rapporte Koestler, les chroniqueurs arabes “n’avaient évidemment pas une grande sympathie pour les Khazares. Les scribes géorgiens ou arméniens, dont les pays, d’une culture beaucoup plus ancienne, avaient été à plusieurs reprises dévastés par les cavaliers Khazares. La chronique géorgienne, faisant écho à une tradition ancienne, les identifie comme étant les représentants de Gog et de Magog: “Hommes sauvages aux visages hideux et aux mœurs de bêtes sauvages, mangeurs de sang”. [49]
Le Talmud – Avodah Zara 3B déclare: “La guerre de Gog et Magog [la Russie] sera l’un des événements clés pour inaugurer l’ère messianique”. Le Targum de Jérusalem prétend que: “Vers la fin des temps, Gog et Magog marchent contre Jérusalem, mais périssent par la main du Messie”.
En termes simples, “Gog est un nom symbolique, représentant le leader des puissances mondiales antagonistes à Dieu”. (The Imperial Bible Dictionary)
En réponse à ceux qui croient que Gog dans la terre de Magog est spécifiquement la Russie, Apocalypse 20: 8 , fournit une précision sur la véritable région géographique de Gog dans les derniers jours: “les nations qui se trouvent dans les quatre quarts de la terre, Gog et Magog, … “Cette force mondiale, des” quatre quarts de la terre ” qui est répandue, n’existe plus en Russie; N’est pas seulement exclusive à la zone autour du nord de la Palestine. Les noms Gog et Magog semblent être utilisés uniquement comme indication de leur origine et non leur emplacement final.
Il n’y a qu’un seul groupe identifiable qui correspond à cette désignation “répandu”, qui occupe “les quatre quarts de la terre” ; Un groupe dont l’identité religio-culturelle est restée intacte, bien que leurs origines ethniques aient disparu dans l’antiquité; Que, malgré deux mille ans d’une décimation par la persécution, l’émigration forcée, la maladie et la guerre, a encore survécu; Dont les racines sont précisément là où l’Écriture prophétique dit qu’ils seraient – dans le nord de Magog, les steppes du sud de la Russie.
De même que les juifs, en interprétant mal l’Écriture , en fonction de leurs désirs nationalistes, ont manqué la première venue de leur Messie, les chrétiens, de la même manière, réproduisant les mêmes erreurs, ont manqué les enjeux prophétiques de la fin des temps – et – L’apparition future du Messie. Ils ont placé l’invasion de la Palestine comme survenant un de ces jours , dans le futur, alors qu’ elle a déjà eu lieu et d’une manière aussi inattendue ,elle est survenue, tout comme le Messie, comme “un voleur dans la nuit”.
Comme l’a écrit un visionnaire du XIXe siècle: “Le monde à cette époque ,n’est plus prêt à croire le message ,pas plus que les juifs ne sont prêts à recevoir l’avertissement du Sauveur concernant Jérusalem”. [50] C’est clairement le cas maintenant ,alors même que ces mots ont été rédigés.
UNE PATRIE POUR GOG ET MAGOG
“Si la tendance actuelle se poursuit pendant 37 ans dans la même direction et au même taux parcouru au cours des 37 dernières années, la foi chrétienne telle qu’elle est professée aujourd’hui par les chrétiens aura disparu de la terre. Sous quelle forme ou par quel fondement la mission de Jésus-Christ dès lors et par la suite continuera-elle à se manifester ici sur terre , ceci est aussi imprévisible qu’inéluctable “- Benjamin H. Freedman.
“En un mot, pour synthétiser notre système de contrôle sur les gouvernements des goyim en Europe, nous montrerons notre force à l’un d’entre eux et à tous à travers terrorisme , si nous constatons la possibilité d’une recrudescence générale contre nous par ceux ci ou ceux là, Nous répondrons avec les armes de l’Amérique “- ( “Le septième protocole des sages de Sion”.)
“Dans cette lettre, je ne propose pas de dénoncer les conspirateurs qui se consacrent à la destruction de la foi chrétienne , ni à la nature et à l’étendue de la conspiration elle-même. Cette dénonciation réunirait de nombreux volumes. L’histoire du monde il y a plusieurs siècles et les événements actuels chez nous et à l’étranger confirment l’existence d’une telle conspiration. Le clergé chrétien semble être plus ignorant ou plus indifférent à propos de cette conspiration que les autres chrétiens. Le clergé chrétien pourrait être choqué d’apprendre qu’ils ont aidé et encouragé les ennemis dévoués de la foi chrétienne “- Freedman.
“La liberté de conscience a été déclarée partout, de sorte que maintenant, seulement des années nous séparent du moment de l’anéantissement total de cette religion chrétienne: en ce qui concerne les autres religions, nous aurons encore moins de peine à faire face à elles. Nous ferons semblant et agirons dans le cléricalisme et parmi clercs ,dans des cadres étroits pour faire avancer leur influence dans une proportion régressive par rapport son ancienne évolution “- (Le dix-septième Protocole des Sages de Sion.)
“Quelle puissance mystérieuse et secrète a pu, à travers d’innombrables générations, conserver l’origine et l’histoire des Khazares et du Royaume de Khazare hors des manuels d’histoire et des cours de classe dans l’histoire à travers le monde? L’origine et l’histoire des Khazares et du Royaume Khazare sont certainement des faits historiques incontestables “- Freedman.
” Notre pouvoir dans l’état actuel vacillant de toutes les formes de pouvoir sera plus invincible que tout autre, car il restera invisible jusqu’au moment où il aura acquis une telle force qu’aucune astuce ne pourra plus le saper” – (Le Premier Protocole des Sages de Sion.)
Benjamin Freedman, mentionné précédemment, était un juif ashkénaze qui était hautement placé dans le gouvernement américain au début du milieu du vingtième siècle et avait plutôt total et libre accès aux présidents et aux hommes d’Etat jusqu’à l’Administration Kennedy.
Freedman, un juif riche homme d’affaires autrefois, est devenu désabusé par son héritage juif, après avoir appris leurs origines et leurs machinations politiques dans le monde entier. En rompant avec la juiverie organisée, il a dépensé la majorité de sa fortune dans les tentatives de révéler au monde la véritable force motrice de l’établissement de la nation d’Israël par l’Organisation des Nations Unies – ainsi que d’autres idées historiques erronées concernant les racines Khazare du judaïsme moderne .
Dans un récit convaincant de l’histoire mondiale de cette époque, Freedman raconte la fomentation de la trahison dont il a été témoin ,lors de la manipulation des résultats de la Première Guerre mondiale.
L’Allemagne, selon Freedman et d’autres historiens, a apparemment gagné, et a pratiquement gagné, la guerre, quand les allemands ont fait, au cours de l’été 1916, une offre très surprenante et magnanime à la Grande-Bretagne. L’Angleterre était dans une position très précaire à cette époque; Essentiellement à court de munitions et des vivres pour environ une seule semaine , suivie d’une famine nationale; Les sous-marins allemands, prenant les alliés complètement par surprise, avaient coupé tous les livraisons de convois maritimes. Puis, est survenu l’évènement le plus inattendu de tous – l’Allemagne a offert des Accords de Paix.
“À cette époque,” dit Freedman, “l’armée française s’était mutinée. Ils avaient perdu 600 000 de la fleur de la jeunesse française dans la défense de Verdun dans la Somme. L’armée russe faisait defection, ils ont ramassé leurs jouets et sont rentrés chez eux , Ils ne voulaient plus jouer à la guerre, ils n’aimaient pas le tsar. Et l’armée italienne s’était effondrée.
“Pas un tir n’a été tiré sur le sol allemand” ajoute Freedman . “Aucun soldat ennemi n’avait traversé la frontière en Allemagne” mais ils ont offert la paix. Et pas la paix ordinaire du conquérant aux vaincus. Les Allemands ont proposé un règlement de paix de statu quo ante, ce qui signifie que les deux parties reviendraient au même statut d’avant le début des hostilités.
Avec l’attrait d’ une telle offre, et avec toutes les autres options effectivement éliminées, la Grande-Bretagne avait peu d’autres choix que d’accepter. Cependant, il y a eu une autre offre, beaucoup plus attrayante pour l’ego britannique, ce qui entraînerait une victoire jusqu’alors impossible.
Alors que l’Allemagne cherchait à mettre fin à la guerre d’une manière plus équitable, les sionistes allemands, représentant les sionistes d’Europe de l’Est, se sont approchés du Cabinet de Guerre britannique et leur ont offert une alternative pour tout simplement prétendre qu’une guerre n’avait jamais eu lieu.
À ce stade, il conviendrait de définir “sioniste”. C’étaient (et sont) des juifs dont le but principal était l’établissement d’une “Patrie Juive” – une proposition que la majorité des juifs à cette époque n’approuvaient pas. Le dictionnaire collégial de Webster définit le “sionisme” comme étant “un mouvement international originaire pour l’établissement d’une communauté juive nationale ou religieuse en Palestine et plus tard pour le soutien de ” l’Israël moderne” .
Au moment où l’Organisation des Nations Unies avait décrété Israël comme un État légitime, le 14 mai 1948, la plus conservatrice des sectes juives, les Hassidim, se sont fermement opposés à la création d’un État laïc d’Israël, affirmant qu’il était illicite de le faire avant la venue du Messie.
L’offre faite aux britanniques au moment de la victoire presque totale de l’Allemagne consistait en une proposition visant à amener les États-Unis dans la guerre du côté britannique et ainsi assurer une victoire alliée. Cela dépendait des britanniques, après la défaite de l’Allemagne, acceptant de garantir une grande partie de la Palestine en tant que patrie juive – en gardant à l’esprit que cette cabale était créée par ceux qui n’avaient aucune ascendance connexe, quelle qu’elle fut, aux tribus sémitiques de l’ancien Israël et, par conséquent, aucun droit ancestral de formuler ne serait ce qu’une revendication à distance dans la région.
Freedman fait observer que l’Angleterre n’avait pas plus le droit de promettre la Palestine aux juifs que “les États-Unis devraient promettre le Japon aux irlandais” , mais c’est précisément ce qu’ils ont fait. Cette promesse a abouti à la rédaction d’un petit document historique intitulé “Déclaration de Balfour”. Voici le texte, integral, de ce document historique court et concis:
“Ministère des Affaires étrangères
“2 novembre 1917
“Cher Lord Rothschild,
“J’ai beaucoup de plaisir à vous transmettre, au nom du Gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante de sympathie avec les aspirations juives sionistes qui a été soumise et approuvée par le Cabinet.
“Le gouvernement de Sa Majesté considère avec faveur l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif et fera tout son possible pour faciliter l’atteinte de cet objet, étant entendu qu’il ne faut rien faire qui puisse porter atteinte aux droits civils et religieux des communautés non juives existantes en Palestine, ou aux droits et au statut politique dont jouissent les juifs dans tout autre pays.
“Je vous serais reconnaissant de porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste.
“Cordialement,
“Arthur James Balfour”
Notez la deuxième phrase (qui est également le deuxième paragraphe) qui prétend que “rien ne doit être fait qui pourrait porter atteinte aux droits civils et religieux des communautés non juives existantes en Palestine”. Est-ce que ce n’était peut-être pas considéré à ce moment-là que la dépossession forcée d’autres personnes de leurs terres et de leurs biens – à savoir les Arabes palestiniens – constituait une violation ou un préjudice à leurs “droits civils et religieux “? Cela semble aller un peu trop loin.
Un point intéressant dans la présentation de Freedman , est que les juifs allemands ont été très bien traités dans leur pays, dont beaucoup avaient fui la persécution de la Russie et d’autres pays d’Europe de l’Est. Comme l’a dit Freedman, “les Juifs n’avaient jamais été mieux dans aucun pays du monde qu’ils n’étaient en Allemagne”. Presque tous les grands géants industriels de l’époque, les Rathenaus, les Balins, Bleichroder, les Warburgs, et bien sûr, les Rothchild (à qui s’adresse la lettre de Balfour) étaient juifs et résidaient en Allemagne.
Ce que les sionistes ont fait n’était rien de moins qu’un classique “bradage” de leur patrie allemande. Les méthodes utilisées pour amener les États-Unis dans la guerre contre l’Allemagne semblent également être classiques en ce sens qu’il s’agissait d’un modèle à de nombreuses autres incitations pour que les États-Unis entrent en guerre, alors même qu’ ils n’y avaient aucun interêt . Comme pour le conflit serbe et beaucoup d’autres à cette époque, où des atrocités fabriquées contre des minorités ethniques, des femmes et des enfants ont été utilisées pour obtenir l’accord du Congrès américain et des citoyens, il était également utilisé pour amener les États-Unis à la Première Guerre mondiale.
Freedman note que les médias américains, qui avant cela avaient été quelque peu pro-allemands, avaient commencé à signaler que les Allemands avaient commencé à commettre des atrocités qui, plus tard, il s’était avéré qu’elles étaient tout à fait fausses: des atrocités telles que le tir contre les infirmières de la Croix-Rouge et de couper les mains des bébés, etc.
Pendant la participation de Freedman aux affaires d’Etat américaines, il avait assisté à la Conférence de Paris en 1919, où l’Allemagne avait reçu des demandes de réparation. Lors cette conférence, selon M. Freedman, il y avait 117 juifs présents, représentés par Bernard Baruch, portant leurs revendications pour le partage de la Palestine en tant que patrie juive.
Quant à ce qui a permis la mise en place effective de l’Etat d’Israël par opposition à une simple déclaration politique des Nations Unies, M. Freedman explique: “C’est un fait historique bien établi et indéniable”, écrit-il, “que la participation active des États-Unis à la conquête de la Palestine, au nom des sionistes, était le facteur responsable de la conquête de la Palestine par les sionistes Sans la participation active des États-Unis, “Freedman réaffirme”, il est certain que les sionistes n’auraient jamais tenté la conquête de la Palestine par la force des mains “.
Le reste, comme on l’a dit, n’est qu’histoire.
Quand on considère toute cette histoire qui a été partie prenante dans la formation du monde et surtout du Moyen-Orient tel qu’il est aujourd’hui, il devient moins mystérieux de comprendre pourquoi les musulmans palestiniens possèdent une telle animosité et une haine envers ceux qui, selon tout ce qui a été présenté ici, ont littéralement volé leurs vies et leurs terres. Il semble également supprimer le mystère de la question que le président américain s’est posé pour savoir pourquoi ils détestent l’Amérique autant qu’ils le font – L’Amérique, qui a été le principal fournisseur militaire et financier de Gog et Magog dans l’usurpation de la Palestine en faveur des Khazares. Comme M. Bush l’a dit, “Si vous soutenez les terroristes, vous êtes un terroriste”; Les musulmans peuvent aussi dire: “Si vous soutenez nos ennemis qui volent notre terre, notre dignité et notre histoire, vous êtes aussi nos ennemis”.
Ce message aurait dû être fort et clair le 11 septembre 2001, même si deux des grands évangélistes chrétiens d’Amérique (Pat Robertson et Jerry Falwell) avaient affirmé que ce message aurait été marqué par un châtiment Divin contre les péchés de l’Amérique. Ils ont bien sûr abandonné cette position impopulaire lorsque le sentiment public s’est opposé à eux. Il faudrait se demander si, dans ce cas, ces deux hommes ont effectivement précisé les mots “conviction” et “engagement” pour les adeptes de leur étiquette de “christianisme”.
Epilogue
Beaucoup d’historiens, cités dans ce travail, s’appuiyent largement sur le livre d’Arthur Koestler,La Treizième Tribu, comme une ressource littéraire crédible pour une histoire complète des Khazares. Cette écriture s’est également appuyée sur l’ouvrage de M. Koestler ainsi que sur plusieurs autres historiens et universitaires juifs. Il est intéressant de noter que, parmi les savants juifs qui citent La Treizième Tribu dans leurs récits historiques, pratiquement aucun ne parle des commentaires de Koestler, précédemment énumérés, comme par exemple : “L’histoire de l’empire Khazare, alors qu’elle émerge lentement du passé, s’avère comme la plus cruelle des duperies que l’histoire ait jamais perpétrée. Il faudrait se demander si de telles omissions la concernant ne sont pas intentionnelles et ne constituent pas une censure de facto de nombreux aspects impopulaires de cette histoire intéressante et de grande envergure.”
Koestler, lui-même un Juif Ashkénasien, a exprimé ces sentiments dans une vive déception par rapport à l’histoire de sa propre foi et l’effet essentiellement pernicieux qu’elle a eu sur le monde. Pourtant, il n’a ni abandonné la religion de ses pères, pas plus qu’il ne s’est impliqué dans cette thèse qu’il aurait dû avoir.
Pour un non-Juif, tel que cet écrivain, le citer et utiliser à ce point son œuvre, l’incorporant afin d’illustrer que les prophéties bibliques concernant les fléaux de Gog et Magog pointent clairement du doigt les Khazariens Talmudiques, risque d’être accusé d’antisémitisme. Une telle réaction, cependant, aurait été clairement démontrée comme étant sans fondement , compte tenu des preuves présentées ici que les juifs qui détiennent le pouvoir politique sur la Palestine ne descendent même pas à distance des tribus sémitiques!
On ne peut cependant pas s’empêcher d’être frappé par la suprême habileté de ces peuples ,composanr de un à six pour cent de la population moyenne des pays en dehors d’Israël, ont réussi à acquérir des positions de pouvoir et d’influence dépassant largement leur représentation dans la population générale de ces nations.
Freedman, comme mentionné, était un juif ashkénaze. Dégoûté de ce dont il a été témoin de ses frères, il a utilisé un langage plutôt forcé décrivant leurs actions et leurs origines.
Les concernant, il déclare sans équivoque:
“Aucun d’entre eux n’avait un ancêtre qui a mis ne serait-ce qu’un orteil en Terre Sainte. Non seulement dans l’histoire de l’Ancien Testament, mais bien loin , au début des temps. Pas un d’eux! Et pourtant ils viennent aux chrétiens et leur demandent de soutenir leurs insurrections armées en Palestine en disant: ” Vous voulez aider à rapatrier le peuple élu de Dieu dans leur terre promise, leur maison ancestrale, n’est-ce pas? C’est votre devoir chrétien. Nous vous avons donné un de nos garçons comme votre Seigneur Et le Sauveur. Vous allez maintenant à l’église le dimanche, et vous vous agenouillez et vous adorez un juif, et nous sommes juifs. Mais ce sont des Khazars païens qui ont été convertis exactement comme les Irlandais ont été convertis. Il est aussi ridicule de les appeler “les peuples de la Terre Sainte”, comme ce serait ridicule d’appeler Arabes les 54 millions musulmans chinois.
La conclusion simple et brute de la question est que Gog et Magog ont clairement et sournoisement – Quoique, comme un raz de marée au ralenti – ont envahi par le Nord ,comme selon la prophétie biblique. Il ont envahi non seulement la Palestine, mais le monde entier; Chaque nation sur les “quatre quarts de la terre” est passée sous leur emprise. Ces descendants des “Khazares païens” qui professent être le vrai et original peuple de Dieu se sont insinués dans chaque bastion du pouvoir sur terre. S’il y a des exceptions à ce fait, ils sont aussi insignifiants, dans leur estimation des choses, autant qu’une mouche face à un rhinocéros.
Ils (la race de Gog) contrôlent totalement dix pour cent du Sénat des États-Unis, sans doute le corps législatif le plus puissant et influent sur terre. Ils ont habilement contrôlé l’Administration américaine et le Ministère de la Défense et ont de nouveau participé à cette nation dans une guerre où elle n’a aucun intérêt. Cette race extraordinairement ingénieuse et talentueuse a placé des spectacles à à califourchon sur le nez des politiciens et des chrétiens qui leur font paraître comme si ce conflit était justifié; Pour susciter des déclarations, du président des États-Unis, et leur faire croire que ceux avec qui cette nation a déclaré la guerre sont des ennemis de la démocratie et de la liberté, alors que tout ce qu’ils voulaient vraiment était de tranquillement adorer Dieu sous les principes de leur propre religion, sans être harcelés par ceux qui ont déjà volé presque tout ce qu’ils ont – et l’ont fait avec l’argent, l’influence et les armes à feu des États-Unis d’Amérique.
Cet écrivain a passé un certain temps en Israël, témoignant personnellement des injustices commises par un peuple qui n’avait pas de prétention légitime à la terre, sur un peuple qui en avait. Etant allé là bas avec un parti pris “pro-israélien”, il devint rapidement évident que toute classe dirigeante qui habilement engendre une économie où un segment bénéficie d’un avantage de revenu moyen de 15 contre1 par rapport à un autre, dans le même niveau de la vie, ne peut pas feindre l’innocence de ceux qui sont incapables de comprendre la haine et l’animosité de ceux qu’ils oppriment.
“L’esprit de Gog ” dit qu’il utiliserait les “canons de l’Amérique” pour atteindre ses objectifs, et maintenant, on le voit clairement, en Afghanistan, alors qu’ils renversent le sang ce ceux qu’ils convoitent, pour accomplir ce qu’ils veulent, et ils ne plaisantaient pas du tout en l’affirmant.
Un autre élément fascinant qui inspire l’émerveillement est la manière remarquable dont la prophétie biblique s’est accomplie – ET – comment le “christianisme” moderne a manqué cet accomplissement. Au début, il semble étrange que ces “érudits” bibliques aient perdu les leçons de l’histoire: principalement, que les prophéties n’ont jamais été interprétées avant leur accomplissement, sauf par les prophètes qui les ont interprétés, selon ce qu’ils paraissent. Pourtant, ils continuent à essayer, et le résultat est divertissant au mieux, et pour le moins tragique, car ils doivent suivre des interprétations de leur propre conception – des étincelles de leur propre allumage. Ils ont été tellement hypnotisés et “drogués” par l’idée de soutenir et de financer le merveilleux “retour des Juifs à leur patrie” qu’ils sont comme les lemmings s’étant volontiers attroupés dans la mer.
Oui, Gog et Magog ont envahi le monde entier, et ce qui est encore plus étonnant, c’est que non seulement arrivé avec la bénédiction du christianisme professé, mais aussi de son soutien financier et de son encouragement liturgique. Ils ont vraiment creusé leurs tombes ecclésiastiques.
“Regarde, il est venu, et c’est fait, dit l’Éternel Dieu, c’est le jour dont j’ai parlé” (Ezéchiel 39: 8).
[1] Bury, J. B., A History of the Eastern Roman Empire, p. 120.
[2] George Vernadsky, A History of Russia, Vol. 1 (New Haven, CT: Yale University Press, 1948), p. 346.
[3] Brook, Kevin Alan, The Jews of Khazaria, (Jason Aronson, Inc. Northvale, NJ, Jerusalem), 1999.
[4] Omeljan Pritsak, The Khazar Kingdom’s Conversion to Judaism, pp. 278-9.
[5] Dunlop, D. M., The History of the Jewish Khazars, p. 90 (Princeton, 1954), al-Bakri (ob. 487/1094).
[6] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 58.
[7] Ibid.
[8] Bury, J. B., A History of the Eastern Roman Empire, p. 406.
[9] Ibid.
[10] Brook, The Jews of Khazaria, p. 126.
[11]Yehuda HaLevi, The Kuzari, trans. N. Daniel Korobkin (Northvale, NJ: Jason Aronson, 1998), p. 1.
[12] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 66.
[13] Ibid., p. 72-4.
[14] McEvedy, C., The Penguin Atlas of Mediaeval History (1961).
[15] Macartney, C. A., The Magyars in the Ninth Century (Cambridge, 1930).
[16] Dunlop, D. M., The History of the Jewish Khazars (Princeton, 1954).
[17] Baron, S. W., A Social and Religious History of the Jews, Vols. III and IV (New York, 1957).
[18] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 141, 144, 152.
[19] Cecil Roth, “Jews” in Enc. Britannica, 1973 printing.
[20] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 159.
[21] Ibid., p. 15, 16.
[22] A. N. Poliak, Khazaria — The History of a Jewish Kingdom in Europe (Mossad Bialik, Tel Aviv, 1951).
[23] Kutschera, Hugo Freiherr von, Die Chasaren (Wien, 1910), Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 169.
[24] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 172.
[25] Mieses, M., Die Jiddische Sprache (Berlin-Wien, 1924).
[26] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 179-80.
[27] Ibid., p. 17.
[28] Barker, F., “Crusades,” Enc. Britannica, 14th ed., p. 772, 1973.
[29] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 163.
[30] Baron, S. W., A Social and religious History of the Jews, Vols. III and IV (New York, 1957).
[31] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 164-7.
[32] Ibid., p. 182.
[33] Brook, The Jews of Khazaria, p. 300.
[34] Hugo Freiherr von Kutschera, in Die Chasaren: Historische Studie (Vienna: A. Holzhausen, 1910) — English translation.
[35] Shapiro, H., The Jewish People: A Biological History (UNESCO, Paris, 1953).
[36] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 177.
[37] Baron, S. W., A Social and Religious History of the Jews, Vols. III and IV (New York, 1957).
[38] Encyclopedia Americana, 1985 edition.
[39] Koestler, The Thirteenth Tribe, Appendix IV, p. 223.
[40] Koestler, The Thirteenth Tribe, Appendix IV, p. 224.
[41] JVIM International, http://www.jvim.com/IntelligenceBriefing/Dec1996/wars.html
[42] Josephus, Antiquities of the Jews, Book 1, Ch. 6.
[43] The Catholic Encyclopedia, Vol. VI, 1909, (Robert Appleton Company).
[44] Josephus, Antiquities of the Jews, Book 1, Ch. 2.
[45] Alexander A. Vasiliev, The Goths in the Crimea (Cambridge, MA: The Mediaeval Academy of America, 1936), p. 96.
[46] Jewish Travellers, ed. Elkan N. Adler (London: George Routledge & Sons, 1930), p. 83.
[47] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 24.
[48] Ibid., p. 81.
[49] Schultze, Das Martyrium des heiligen Abo von Tiflis, Texte und Untersuchungen fur Geschichte der altchristlichen Literatur, XIII (1905), The Thirteenth Tribe, p. 19, 20.
[50] E. G. White, The Great Controversy, (Pacific Press Publishing Company), 1888 edition.