Étrange ball pour représenter des enfants :
Je ne peux n’empêcher quand je vois ce mot “Ball”, de penser au culte de BAAL qui est la représentation même du désir sexuel chez les occultes sataniques.
Le ball 2018 de l'UNICEF :

Première constatation, l’œil qui voit tout ! Et vous allez voir que le noir et blanc prend tout son sens dans la prochaine photo :

Cela ne vous aura pas échappé, le damier des francs-maçons ! Un nouvel indice également sur le satanisme avec les belles cornes ! Un ball représentant des enfants tout de même !
Voici pour la suite une belle présentation de leur BALL satanique :
Rien n'est hasard !



Lydia Hearst était présente :

Lydia Hearst était présente, arborant une jolie robe blanche avec une croix inversée sur le devant. Hearst est, bien sûr, l’arrière-petite-fille de William Randolph Hearst, le magnat des médias le plus puissant des États-Unis du XXe siècle, et un homme connu pour sa position de franc-maçon au 33e degré.
Illuminati “William Randolph Hearst” a apporté une grande aide à “Anton LaVey”. Ses éditions Avon ont publié sa Bible satanique en 1969 (elle a été publiée pour la première fois en décembre 69). Le prochain livre de LaVey, The Satanic Rituals, a également été publié par Hearst Avon en 1972. Il parle du pouvoir que les sacrifices de sang confèrent au magicien. Les documents de Hearst lui ont également donné de la publicité. “Fritz Springmeier, la formule Illuminati pour créer un esclave du contrôle de l’esprit”
Les faits de pédophiles UNICEF :
Révélée par le Soir de Bruxelles en mars 1987, l’existence d’un réseau de pédophilie basé à Bruxelles a pris une nouvelle dimension avec l’arrestation, dans la capitale belge, du directeur du bureau de l’UNICEF, M. Jos Verbeeck.
Peter Newell, 77 ans, vient d’être condamné à six ans et huit mois de prison. Il avait reconnu être l’auteur de cinq agressions sexuelles sur un enfant âgé de moins de 16 ans.
Or, Peter Newell travaillait précisément dans le domaine des droits de l’enfant.
En 2007, il avait co-signé pour l’UNICEF le document de mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l’enfant.

Un nouveau témoignage accablant contre Gabriel Matzneff

Francesca Gee a rencontré Gabriel Matzneff en 1973 chez elle, où l’auteur avait été invité par son père, un journaliste britannique soucieux d’être introduit dans les cercles de l’élite parisienne. Leur relation a duré trois ans, avec l’aval du père de Mme Gee, décédé en 2014. L’un des enquêteurs chargé de l’enquête sur M. Matzneff et ses soutiens, qui a auditionné Mme. Gee pendant cinq heures, décrit leur relation comme une “prise d’otage”, comme le rapporte Mme Gee. Matzneff l’avait ainsi fait inscrire au lycée Montaigne pour qu’elle soit plus près de chez lui, et l’aurait isolée des personnes de son âge.
Elle raconte aussi que l’écrivain l’aurait amenée chez une gynécologue qui acceptait de donner la pilule contraceptive à des mineures sans l’autorisation de ses parents : le Dr Barzach, qui fut plus tard ministre de la Santé, de 1986 à 1988, et présidente de l’UNICEF France, de 2012 à 2015. Celle-ci – chez qui Matzneff aurait accompagné plusieurs mineures après 1976 – n’a pas donné suite à la demande d’interview du New York Times.